Prix : EUR 20,00
This review is from : Un mouton dans la baignoire
Plongée dans l'intimité du pouvoir .
Comme il le dit lui-mme tout au long du livre, Azouz Begag a accepté d'entrer dans le gouvernement par fascination pour De Villepin et son discours à l'ONU, mais avec une totale inexpérience du monde politique et beaucoup de naveté sur ce qu'il pouvait y faire. Qu'il y ait pris une sorte de revanche d'enfant d'immigré des bidonvilles, qu'il ait continuellement pensé l'offrir à l'me de son père et à sa mère, est rappelé avec insistance (beaucoup trop peut-tre) au fil des pages. S'il nous permet d'intérioriser et de mieux nous imprégner de sa réalité, ce n'est pas le plus intéressant de ses lignes.Par contre, on y découvre ce que sont les hommes politiques à ce niveau, vivant constamment sous le regard des médias, existant ou mesurant leur efficacité selon qu'ils apparaissent ou non au journal de 20 heures ou en première page des quotidiens, se marchant au vrai sens du terme sur leurs souliers de ministres pour tre au premier rang, plus concurrents que solidaires, plus soucieux de leur carrière que de l'efficacité de leurs projets.Quelles que soient nos opinions d'électeurs, cette plongée dans les "hautes sphères" peut nous rendre l'immense service de regarder autrement ces hommes et femmes que nous mandatons.
Plongée dans l'intimité du pouvoir .
Comme il le dit lui-mme tout au long du livre, Azouz Begag a accepté d'entrer dans le gouvernement par fascination pour De Villepin et son discours à l'ONU, mais avec une totale inexpérience du monde politique et beaucoup de naveté sur ce qu'il pouvait y faire. Qu'il y ait pris une sorte de revanche d'enfant d'immigré des bidonvilles, qu'il ait continuellement pensé l'offrir à l'me de son père et à sa mère, est rappelé avec insistance (beaucoup trop peut-tre) au fil des pages. S'il nous permet d'intérioriser et de mieux nous imprégner de sa réalité, ce n'est pas le plus intéressant de ses lignes.Par contre, on y découvre ce que sont les hommes politiques à ce niveau, vivant constamment sous le regard des médias, existant ou mesurant leur efficacité selon qu'ils apparaissent ou non au journal de 20 heures ou en première page des quotidiens, se marchant au vrai sens du terme sur leurs souliers de ministres pour tre au premier rang, plus concurrents que solidaires, plus soucieux de leur carrière que de l'efficacité de leurs projets.Quelles que soient nos opinions d'électeurs, cette plongée dans les "hautes sphères" peut nous rendre l'immense service de regarder autrement ces hommes et femmes que nous mandatons.
Un mouton dans la baignoire Reviews
Tribulations d'un ministre en recherche de légitimité .
N'y voyons pas malintention. Azouz Begag n'est pas un méchant, ni vindicatif ni revenchard. Simplement une arete lui est restée coincé entre incisive et canine et il n'a pas trouvé le bon cure-dents.Azouz Begag est un pur, "un écrivain, un artiste", un de la societé civile appelé au gouvernement: le ministre de l'égalité des chances.Il va se frotter à la rugosité, parfois la cruauté de la gent politique et il n'a pas encore le cuir suffisamment tanné pour celà.Sa vision, ses analyses sont bons (voir C.P.E.) mais impuissant (il dépend du premier ministre) il a l'impression d'essuyer les pltres.le costume bleu s'il lui sied ne lui permet pas, à son avis, d'exercer pleinement ses fonctions.Le bémol: Il a ce perdurant (et injuste) complexe invalidant de faire-valoir, "de beur de Villepin", "d'Arabe de service". Qu'il le pense et qu'il l'écrive celà nous met mal à l'aise, celà nous est douloureux.C'est un sensible, ses rapports avec Borloo, Hortefeux et surtout Sarkozy sont parfois violents et laissent des traces. Il reoit toute la misère, se démène, encaisse les coups et découvre, éffaré, l'importance et la violence des médias, surtout de la presse et ce à ses dépens.Celà dit, sur la forme, le style est vif, imagé, plaisant, une pointe d'humour, un zest de poésie, deux doigts de dérision, le jeu des mots, on retrouve le Begag écrivain et toujours cet égal plaisir à le lire. Le livre est traité en forme de journal et sort de l'ordinaire.Un bon livre. Ne pas passer à cté. Surtout pour l'écriture.
Tribulations d'un ministre en recherche de légitimité .
N'y voyons pas malintention. Azouz Begag n'est pas un méchant, ni vindicatif ni revenchard. Simplement une arete lui est restée coincé entre incisive et canine et il n'a pas trouvé le bon cure-dents.Azouz Begag est un pur, "un écrivain, un artiste", un de la societé civile appelé au gouvernement: le ministre de l'égalité des chances.Il va se frotter à la rugosité, parfois la cruauté de la gent politique et il n'a pas encore le cuir suffisamment tanné pour celà.Sa vision, ses analyses sont bons (voir C.P.E.) mais impuissant (il dépend du premier ministre) il a l'impression d'essuyer les pltres.le costume bleu s'il lui sied ne lui permet pas, à son avis, d'exercer pleinement ses fonctions.Le bémol: Il a ce perdurant (et injuste) complexe invalidant de faire-valoir, "de beur de Villepin", "d'Arabe de service". Qu'il le pense et qu'il l'écrive celà nous met mal à l'aise, celà nous est douloureux.C'est un sensible, ses rapports avec Borloo, Hortefeux et surtout Sarkozy sont parfois violents et laissent des traces. Il reoit toute la misère, se démène, encaisse les coups et découvre, éffaré, l'importance et la violence des médias, surtout de la presse et ce à ses dépens.Celà dit, sur la forme, le style est vif, imagé, plaisant, une pointe d'humour, un zest de poésie, deux doigts de dérision, le jeu des mots, on retrouve le Begag écrivain et toujours cet égal plaisir à le lire. Le livre est traité en forme de journal et sort de l'ordinaire.Un bon livre. Ne pas passer à cté. Surtout pour l'écriture.
Un mouton dans la baignoire Opinions
Magnifique de sincérité et déprimant à la fois .
Azouz Begag m'a impressionné par sa simplicité et son sens de l'humour dans une émission du samedi soir sur France 2... et puis c'est un des rares ministres qui ne tirait pas sur Villepin, un premier ministre pour lequel j'ai eu et j'ai toujours beaucoup de respect et d'admiration. Par ailleurs, ayant plutt soutenu Sarko lors des présidentielles (en tant que Belge a n'avait de toute faon pas grande importance!), je voulais avoir l'avis d'un proche (via l'UMP - qu'il a quitté entre-temps) et adversaire en mme temps.Son livre est étonnant de sincérité et d'humilité. Il raconte son expérience ministérielle, lui, originaire de la société civile et à mille lieues de se douter de toutes les machinations politiciennes en place.Peut-tre que plus grand monde ne doute que les "médias sont truqués" et que "le désir de pouvoir est plus fort que la fidélité", mais sorti de la plume d'un ex-ministre, a fait tout de mme encore de l'effet. Azouz Begag prévient les idéalistes dont je fais partie que c'est mme pire que ce que l'on pourrait croire. Mais c'est joliment écrit et a se dévore...Seul regret: ne pas avoir la fin de l'histoire, sa démission et ce qu'il a pensé de la fin du gouvernement Villepin et du sacre de Sarko...
Magnifique de sincérité et déprimant à la fois .
Azouz Begag m'a impressionné par sa simplicité et son sens de l'humour dans une émission du samedi soir sur France 2... et puis c'est un des rares ministres qui ne tirait pas sur Villepin, un premier ministre pour lequel j'ai eu et j'ai toujours beaucoup de respect et d'admiration. Par ailleurs, ayant plutt soutenu Sarko lors des présidentielles (en tant que Belge a n'avait de toute faon pas grande importance!), je voulais avoir l'avis d'un proche (via l'UMP - qu'il a quitté entre-temps) et adversaire en mme temps.Son livre est étonnant de sincérité et d'humilité. Il raconte son expérience ministérielle, lui, originaire de la société civile et à mille lieues de se douter de toutes les machinations politiciennes en place.Peut-tre que plus grand monde ne doute que les "médias sont truqués" et que "le désir de pouvoir est plus fort que la fidélité", mais sorti de la plume d'un ex-ministre, a fait tout de mme encore de l'effet. Azouz Begag prévient les idéalistes dont je fais partie que c'est mme pire que ce que l'on pourrait croire. Mais c'est joliment écrit et a se dévore...Seul regret: ne pas avoir la fin de l'histoire, sa démission et ce qu'il a pensé de la fin du gouvernement Villepin et du sacre de Sarko...
Un témoignage étonnant dans la droite lignée du personnage .
Azouz Begag nous donne le récit de sa vie telle qu'elle ft lorsqu'il a été ministre. Le livre est intéressant car il montre bien comment la vie politique franaise est codifiée et difficilement accessible pour l'individu lambda (mme si Begag possède quelques titres de "noblesse" en sciences sociales). On se rend compte qu'effectivement, tout est très figé et l'impression d'immobilisme de notre société est sans doute à mettre en parallèle avec celui de nos politiques.L'ensemble des anecdotes sont bien évidemment savoureuses, surtout celles avec Sarkozy & Hortefeux où la nature des deux se trouve bien révélée, conforme à l'image donnée par certains médias.Là où le livre est moins bon, c'est quand Begag parle des banlieues. Son approche de sociologue n'est pas inintéressante, mais elle semble parfois obstruée par une vision trop misérabiliste des jeunes des quartiers difficiles (la référence à l'Assomoir de Zola conforte cette idée). Quand il donne son avis sur le CPE, il n'est pas très bon non plus (les jeunes ne veulent pas se bouger selon lui, mais QUID des jeunes de banlieues à qui sont offerts des travails dans ce cas-là?).Malgré tout le récit reste attachant et les innombrables rencontres de Begag sont très bien racontées, avec juste ce qu'il faut de poésie pour adoucir le monde politique!
Azouz Begag nous donne le récit de sa vie telle qu'elle ft lorsqu'il a été ministre. Le livre est intéressant car il montre bien comment la vie politique franaise est codifiée et difficilement accessible pour l'individu lambda (mme si Begag possède quelques titres de "noblesse" en sciences sociales). On se rend compte qu'effectivement, tout est très figé et l'impression d'immobilisme de notre société est sans doute à mettre en parallèle avec celui de nos politiques.L'ensemble des anecdotes sont bien évidemment savoureuses, surtout celles avec Sarkozy & Hortefeux où la nature des deux se trouve bien révélée, conforme à l'image donnée par certains médias.Là où le livre est moins bon, c'est quand Begag parle des banlieues. Son approche de sociologue n'est pas inintéressante, mais elle semble parfois obstruée par une vision trop misérabiliste des jeunes des quartiers difficiles (la référence à l'Assomoir de Zola conforte cette idée). Quand il donne son avis sur le CPE, il n'est pas très bon non plus (les jeunes ne veulent pas se bouger selon lui, mais QUID des jeunes de banlieues à qui sont offerts des travails dans ce cas-là?).Malgré tout le récit reste attachant et les innombrables rencontres de Begag sont très bien racontées, avec juste ce qu'il faut de poésie pour adoucir le monde politique!
Étonnant témoignage d' un citoyen pauvre devenu sociologue puis ministre.. .
Nommé ministre quelques mois aprés le hasard comique d' une rencontre avec Villepin le poète lors d'une signature à la Foire du livre de Brive, le témoignage d'Azouz Bégag sur son éxpérience ministérielle se lit comme un roman plein d'humanité d'un homme "pas fait pour le rle", fragile, attachant, mais aussi combattif. Il dresse au passage une peinture au vitriol des coulisses du pouvoir et du jeu médiatique et de la face cachée de Mr Sarkozy et de ses amis. Begag enlève "le voile" de Sarkozy et revèle ce que beaucoup d'observateurs dont Jean-Franois Kahn dans son article "le vrai Sarkozy" peroivent comme sa nature profonde : menteuse, corruptrice, calculatrice, voire machiavélique.. Begag fidèle à la bonhommie enjouée qu'on lui a connu sur les plateaux montre l'autre face, souvent avec humour et raconte la longue descente aux enfers d'un homme de la société civile jeté sans préparation dans une arne impitoyable.Au sujet de la date de parution du livre qu'il voulait retarder aprés les présidentielles, Azouz Bégag n'a pas pu faire attendre son éditeur et en conséquence a donc eté amené à démissioner du gouvernement Villepin début avril. Nicolas Sarkozy eut cette stupéfiante déclaration aprés la sortie du livre "Je n'ai jamais rencontré Azouz Begag".Dans quelle mesure Azouz Bégag n'a-t-il jamais appartenu réellement au gouvernement comme il le prétends avec force anecdotes (on lui marche sur les pieds, ses collègues ministres le font attendre et ne le reoivent quasiment jamais, Sarkozy l'insulte pour sa seule liberté d'opinion), lui seul le sait. Ce témoignage n'est en tout cas pas dénué de sincérité et le pose bien en homme qui a toujours gardé son regard de sociologue, une certaine indépendance d'esprit et un double attachement à la France fraternelle et à ses racines.Azouz en écrivant ce livre a eu certainement besoin d'tre compris et aimé et de partager sa souffrance devant l'adversité qu'il a enduré dans ce poste.Ce livre fait qu'on l'aime et qu'on aime partager sa vision d'une France ouverte, une France de l'égalité des chances.En ce sens il a eu raison de ne pas démissionner au bout de quelques mois et a tenu son pari.Ce témoignage sans filtre, à nu, résonne comme sa dernière action de Ministre..
Nommé ministre quelques mois aprés le hasard comique d' une rencontre avec Villepin le poète lors d'une signature à la Foire du livre de Brive, le témoignage d'Azouz Bégag sur son éxpérience ministérielle se lit comme un roman plein d'humanité d'un homme "pas fait pour le rle", fragile, attachant, mais aussi combattif. Il dresse au passage une peinture au vitriol des coulisses du pouvoir et du jeu médiatique et de la face cachée de Mr Sarkozy et de ses amis. Begag enlève "le voile" de Sarkozy et revèle ce que beaucoup d'observateurs dont Jean-Franois Kahn dans son article "le vrai Sarkozy" peroivent comme sa nature profonde : menteuse, corruptrice, calculatrice, voire machiavélique.. Begag fidèle à la bonhommie enjouée qu'on lui a connu sur les plateaux montre l'autre face, souvent avec humour et raconte la longue descente aux enfers d'un homme de la société civile jeté sans préparation dans une arne impitoyable.Au sujet de la date de parution du livre qu'il voulait retarder aprés les présidentielles, Azouz Bégag n'a pas pu faire attendre son éditeur et en conséquence a donc eté amené à démissioner du gouvernement Villepin début avril. Nicolas Sarkozy eut cette stupéfiante déclaration aprés la sortie du livre "Je n'ai jamais rencontré Azouz Begag".Dans quelle mesure Azouz Bégag n'a-t-il jamais appartenu réellement au gouvernement comme il le prétends avec force anecdotes (on lui marche sur les pieds, ses collègues ministres le font attendre et ne le reoivent quasiment jamais, Sarkozy l'insulte pour sa seule liberté d'opinion), lui seul le sait. Ce témoignage n'est en tout cas pas dénué de sincérité et le pose bien en homme qui a toujours gardé son regard de sociologue, une certaine indépendance d'esprit et un double attachement à la France fraternelle et à ses racines.Azouz en écrivant ce livre a eu certainement besoin d'tre compris et aimé et de partager sa souffrance devant l'adversité qu'il a enduré dans ce poste.Ce livre fait qu'on l'aime et qu'on aime partager sa vision d'une France ouverte, une France de l'égalité des chances.En ce sens il a eu raison de ne pas démissionner au bout de quelques mois et a tenu son pari.Ce témoignage sans filtre, à nu, résonne comme sa dernière action de Ministre..
Humour et sincérité comme à son habitude .
Et bien moi je l'ai trouvé excellent ce livre, tout dépend ce que l'on vient y chercher. A. Begag est égal à lui mme, sincère, lucide et drle. Cette analyse du milieu politique et surtout du comportement des média est édifiante, bien sr l'auteur "vide son sac" il le dit, c'est sa faon de supporter la tension, mais on retrouve l'humour, le ton et la sensibilité qui est en chacun de ses livres. Je n'ai pas été du tout déue, au contraire, j'ai dévoré.Corinne Bally.
Et bien moi je l'ai trouvé excellent ce livre, tout dépend ce que l'on vient y chercher. A. Begag est égal à lui mme, sincère, lucide et drle. Cette analyse du milieu politique et surtout du comportement des média est édifiante, bien sr l'auteur "vide son sac" il le dit, c'est sa faon de supporter la tension, mais on retrouve l'humour, le ton et la sensibilité qui est en chacun de ses livres. Je n'ai pas été du tout déue, au contraire, j'ai dévoré.Corinne Bally.
Cons Review
Pauv bte ! .
Mais qu'allait-il faire dans cette galère ? voilà ce qu'on est amené à se demander à la lecture de ce livre dans lequel l'auteur détaille complaisamment la liste des offenses, humiliations et avanies minuscules qui lui sont infligées lors de son passage au gouvernement Villepin. A l'évidence, Azouz Begag n'avait aucune idée de l'univers politique, lorsqu'il y est entré. Et il nous assène, à longueur de page, cette découverte : c'est un univers impitoyaaaaaaaaaaable.Il n'avait aucun projet non plus pour ses concitoyens, ce qui est plus grave. De ce fait, il passe son temps à se demander ce qu'il pourrait bien faire pour se faire remarquer, et à se lamenter sur son sort, pauvre secrétaire d'état invisible et inutile. c'est déjà assez affligeant d'un point de vue citoyen, mais littérairement parlant a fait de surcrot un mauvais livre, dénué d'intért et de matière et rempli de petits commentaires narcissiques. Un livre sans intért hélas.
Mais qu'allait-il faire dans cette galère ? voilà ce qu'on est amené à se demander à la lecture de ce livre dans lequel l'auteur détaille complaisamment la liste des offenses, humiliations et avanies minuscules qui lui sont infligées lors de son passage au gouvernement Villepin. A l'évidence, Azouz Begag n'avait aucune idée de l'univers politique, lorsqu'il y est entré. Et il nous assène, à longueur de page, cette découverte : c'est un univers impitoyaaaaaaaaaaable.Il n'avait aucun projet non plus pour ses concitoyens, ce qui est plus grave. De ce fait, il passe son temps à se demander ce qu'il pourrait bien faire pour se faire remarquer, et à se lamenter sur son sort, pauvre secrétaire d'état invisible et inutile. c'est déjà assez affligeant d'un point de vue citoyen, mais littérairement parlant a fait de surcrot un mauvais livre, dénué d'intért et de matière et rempli de petits commentaires narcissiques. Un livre sans intért hélas.
Traité de haine .
Je ne suis pas franais, je ne vote pas. Evitons les raccourcis pro ou anti Sarkozy. je suis simplement francophile et féru de lecture. Ce livre est un concentré de haine, un livre règlement de comptes à la Eric Besson. Difficile d'en dire plus, j'avoue ne pas avoir été jusqu'au bout. Je cite "les gens biens ne se sont pas rendu compte de la puissance dévastatrice du vice et de la méchanceté, de la folie dun type comme lui (Sarkozy)." Cette phrase est tirée d'un texte paru dans les Inrock. Vraiment pénible et navrant.
Je ne suis pas franais, je ne vote pas. Evitons les raccourcis pro ou anti Sarkozy. je suis simplement francophile et féru de lecture. Ce livre est un concentré de haine, un livre règlement de comptes à la Eric Besson. Difficile d'en dire plus, j'avoue ne pas avoir été jusqu'au bout. Je cite "les gens biens ne se sont pas rendu compte de la puissance dévastatrice du vice et de la méchanceté, de la folie dun type comme lui (Sarkozy)." Cette phrase est tirée d'un texte paru dans les Inrock. Vraiment pénible et navrant.
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Product Details
EAN : 9782213633756Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Azouz Begag
Binding : Broché
Edition : FAYARD
Manufacturer : Fayard
PublicationDate : 2007-04-11
Publisher : Fayard
SKU : 40803
Studio : Fayard
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