lundi 12 septembre 2011

Libéralisme


Prix : EUR 29,00
ACHAT IMMEDIAT


Un ouvrage fonfamental pour la défense de la liberté .

Contrairement aux idées reues, l'humanisme réside dans un système social où chacun demeure propriétaire de lui-mme, où chacun peut échanger librement avec autrui (ou refuser d'échanger). L'Etat, qui est une institution fondée sur la coercition, la contrainte et la violation des droits individuels, est décrit par Salin comme un ennemi qu'il faut réduire progressivement sans violence, mais avec toute la détermination qu'une analyse logique sans faille peut engendrer dans les consciences. Un livre vraiment prodigieux et sacrément utile.
Passionnant .

Enfin un bel ouvrage complet sur le libéralisme... Pascal Salin tente une brillante synthèse de ce que recouvre la notion, tant dans sa dimension théorique que pratique, avec des 'cas pratiques' particulièrement évocateurs et parfois provocateurs. Que vous soyez familier de ses idées ou a priori complètement contre, lisez cet ouvrage qui donne une image du libéralisme bien différente de celle qui nous est habituellement donnée (ou déglutie ?) par les médias. Un grand merci à l'auteur pour son effort de clarté.
LA réference du Libéralisme .

Mme si Pascal SALIN rencontre (malheureusement) plus de succès à l'etranger qu'en France, il faut considérer avec tous les égards dus à son rang ce magnifique pamphlet, résultat d'un combat incessant depuis plusieurs années déja, qui montre bien que le libéralisme n'est pas une pensée anglo-saxonne, comme le disent souvent ironiquement les détenteurs de la pensée unique. La Bible ou le plus grand ouvrage libéral depuis les écrits d'Hayek, comme l'appellent déja certains, ne peut manquer à votre bibliothèque, faute de quoi, vous ne connaitrieriez véritablement rien au vrai libéralisme.
Enfin! .

Enfin un bon livre sur le libéralisme, qu'on l'apprécie ou pas, enfin un livre qui ne ment pas. a vaut le coup, à lire et à recommander.
Essentiel à la réflexion. .

A l'heure où l'on clame la fin du libéralisme et son échec flagrant, il est bon de revenir aux fondamentaux et de s'enquérir de ce qu'il est réellement, ainsi que de ce qu'il n'est pas.Qui de mieux indiqué pour cela que Pascal Salin, fin connaisseur et brillant défenseur de la conception libérale ?Rappelant, à juste titre, que la liberté individuelle a mis longtemps à émerger de l'Histoire dans les pays occidentaux et à tre reconnue, étant à l'origine de leur extraordinaire prospérité, il montre qu'elle ne va pourtant pas de soi et que le libéralisme est aujourd'hui un terme honni, malgré la richesse intellectuelle qu'il recèle.Malheureusement, l'ignorance et la méconnaissance fondamentale de ce qu'est le libéralisme engendrent un immense malentendu, qui conduit ses détracteurs à lui attribuer des caractéristiques qui lui sont totalement étrangères, voire exactement opposées.Parmi les erreurs courantes, l'assimilation du libéralisme aux politiques de droites, au matérialisme, à la poursuite exclusive de la richesse aux dépens de toute autre valeur, ou encore à la fameuse loi de la jungle , voire l'assimilation à l'extrme-droite autoritaire, dont elle se situe aux antipodes.Rien de plus inexact, comme l'est l'idée selon laquelle le libéralisme serait centré sur des préoccupations purement économiques. Mais cela procède bien souvent de la manipulation, renforant ainsi l'ignorance.De mme, Pascal Salin montre pourquoi l'approche utilitariste privilégiée par certains, qui se prétendent libéraux alors mme qu'ils ne pratiquent qu'un libéralisme à la carte, teinté d'un pragmatisme de bon aloi, s'avère dangereuse et n'aide pas à clarifier les choses, s'opposant à l'approche authentiquement humaniste et éthique du libéralisme, opposée à tout constructivisme, préférant faire confiance aux individus et leurs interactions, soumis à de nécessaires règles du jeu, plutt que de chercher à modeler la société selon les vues des uns ou des autres ou à construire un homme nouveau . Une liberté qui n'est en aucun cas anarchique, mais bornée par les droits des autres, consistant non à défendre l'entreprise, comme beaucoup le croient à tort, ni une quelconque approche matérialiste, mais bien plutt l'individu dans toutes ses fonctions.Ainsi, paradoxe éclatant, on attribue au libéralisme (notamment dans la crise actuelle) des échecs qui viennent précisément de solutions anti-libérales, mise en oeuvre par des interventionnistes qui parfois mme se disent libéraux, réjouissant des adversaires qui s'empressent de dénoncer la faillite du libéralisme . Et ce, alors mme que l'on prétend qu'il s'agit aujourd'hui d'une pensée dominante, là où ne règnent que concessions superficielles au libéralisme, mais en réalité inspirées par des principes opposés , à l'image des privatisations, qui ne représentent pas une concession majeure au libéralisme . Le pragmatisme arbitraire règne en fait, confondant démocratie libérale et libéralisme, et ne respectant pas forcément la triptyque liberté, propriété et responsabilité, qui définissent le libéralisme.A travers l'ouvrage, Pascal Salin passe ainsi en revue différents thèmes qui permettent de clarifier notamment les rapports entre démocratie et liberté (thème qui m'est particulièrement cher), l'approche que l'on peut avoir de l'entreprise, la concurrence, les marchés financiers et l'économie en général, en montrant notamment l'impact très négatif que peut avoir l'Etat dans ses interventions, sans que ce soit forcément visible à première vue ou à court terme.Partant de ces principes, le prestigieux universitaire choisit ensuite d'analyser une série de problèmes spécifiques contemporains, pour lesquels la connaissance du libéralisme constitue une clef utile (immigration, espaces public ou privé, sécurité routière, protection sociale ou individuelle, réglementation anti-tabac, défense de l'environnement, mais aussi réflexion sur l'opportunité des politiques économiques, l'impt, ou encore la mondialisation, pour finir sur la définition de ce que peut tre une société libre).Un ouvrage souvent surprenant pour ceux qui ne connaissent pas le libéralisme ou croyaient savoir de quoi il s'agissait tout en étant complètement dans l'erreur.Une invitation, quelles que soient vos idées, à ouvrir votre esprit et faire preuve de curiosité, pour éventuellement critiquer en connaissance de cause plutt que d'asséner des contre-vérités permanentes.Un travail, en définitive, salvateur.
Un livre nécéssaire pour apprécier le Libéralisme .

J'avais depuis longtemps entendu parler de ce livre. Je poste ce commentaire alors que je possède l'ouvrage depuis longtemps déjà.L'auteur y explique ce qu'est le libéralisme; on en vient à s'aperevoir que ce n'est pas du tout ce à quoi on s'attend quand on est un profane.Puis Pascal Salin attaque le gros morceau: à quoi ressemblerait la question environnementale dans une société libérale, quid des problèmes que posent les fumeurs, la sécurité sociale, la liberté de rouler... Des grands thèmes sont ainsi abordés et l'on se rend compte au fil de la lecture que le seul problème dans nos sociétés viens de l'Etat, surdéveloppé, énorme, et de la contraint étatique omniprésente.J'aurais cependant voulu trouver dans ce livre une réflexion sur ce qu'auraient pu tre les tribunaux en anarcapie.Ceci dit, ce livre est une bonne approche de la pensée libérale et mérite de figurer auprès de Bastiat, Rothbard ou Lemieux dans vos bibliothèques.
très bien mais... .

Ce livre est très bien, l'introduction est superbe, il explique très bien. C'est un régal, les arguments sont très bon, l'auteur donne des sources. Mais desfois le raisonnement est très tiré par les cheveux, l'auteur ratisse desfois tout ce qui passe.Je conseille de lire ce livre, il met fin à beaucoup d'amalgame qu'on peut avoir sur le libéralisme.
connatre le libéralisme .

Pascal Salin détaille le vrai libéralisme, pas celui caricaturé par notre classe politique étatiste (à tendance marxiste qu'elle soit de droite ou de gauche). Dans le mme temps il réhabilite l'individu avec ses droits et ses devoirs. C'est aujourd'hui plus que jamais un exercice salutaire, tous ceux qui préconisent des solutions à base de lois devraient l'avoir lu et aussi compris. Ils changeraient immédiatement d'avis!

Cons Review
erroné malhonnte et dangereux .

Ce livre est une somme du néolibéralisme; écrit avec un réel talent d'analyse et de synthèse, en franais (pas de risque d'erreurs de traductions), récent (avec moins de dix ans d'ge, il est censé prendre en compte les récentes évolutions du monde et de la pensée politique), il peut dispenser de la lecture d'autres chantres plus anciens de cette idéologie, tels Friedrich Hayek et Milton Friedman, du reste abondamment cités.Décrivant le libéralisme avec la foi du charbonnier, il en reproduit sans état d'me les erreurs: le pessimisme (insistance sur la rareté de la ressource économique), le caractère sacré de la propriété (sans souci des problèmes posés par l'accumulation continue de celle-ci entre peu de mains), pour ne rien dire d'assertions gratuites étonnamment stupides, comme par exemple (p. 66) : "les richesses sont toujours créées, elles n'existent pas en dehors de l'effort créateur des hommes": M. Salin ne peroit apparemment rien des ressources que la Nature nous prodigue aussi gratuitement que généreusement, mais peut-tre celle-ci n'est-elle pas idéologiquement correcte. Et il ne voit pas davantage la contradiction entre cette attitude et l'apologue célèbre (qu'il loue pourtant hautement page 50) de Frédéric Bastiat, où le soleil fait (par sa gratuité) concurrence aux fabricants de chandelles...Mme incohérence (un exemple entre mille) dans la laborieuse démonstration qu'il faut supprimer tout salaire minimum: conscient tout de mme de l'évidence qu'un salaire "au prix libre du marché" ne permettrait pas aujourd'hui de vivre à un individu actuellement frappé d'exclusion, il s'en sort en affirmant que (page 416) "Il existe pourtant d'autres moyens - il veut dire : autres que le salaire - d'assurer un niveau de vie minimum, par exemple par les transferts privés ou publics". Dont acte... mais c'est pour condamner seulement dix pages plus loin tout filet de sécurité en ces termes sans appel (p. 426): "on fait exactement le contraire [de ce qu'il faut faire] en France, [...]on subventionne le non-travail (allocations-chmage, RMI, couverture sociale)". Après ce sort fait aux transferts publics, tout transfert privé est définitivement exécuté dans la page (p. 500)qui clt magistralement l'ouvrage, en condamnant, après avoir évoqué Hayek, toute idée de justice sociale: "Imposer des transferts obligatoires, c'est-à-dire prendre des ressources à ceux qui les ont créés par leurs propres efforts pour les remettre à d'autres qui ne les ont pas créées revient à dire que les seconds ont des droits sur les premiers". On appréciera au passage les "propres efforts" des riches héritiers et on plaindra le milliardaire de la tyrannie que lui fait subir le pauvre.Pas un mot, bien sr, sur le brillant bilan du libéralisme économique ces trente cinq dernières années: Pinochet au Chili, Eltsine en Russie, Menem en Argentine, la "reconstruction" en Irak, l'action du FMI et de la Banque Mondiale en Afrique et en Asie. Juste de temps en temps une parole, inévitablement aimable et abstraite, sur Margaret Thatcher et consorts, ou un poncif lié à la prospérité du salariat aux Etats-Unis. Exemple: une note de bas de page, p.421, affirmant que le rapport de force y est en faveur des salariés!! Pour prévoir la crise des "subprimes", il ne fallait décidément pas compter sur M. Salin.Cette déconnexion d'avec la réalité permet à l'ouvrage de garder un ton sirupeux, pétri de bonnes intentions, (donc d'autant plus dangereux pour un lecteur non attentif, danger accru par l'absence injustifiable d'un index, qui permettrait de faire des recoupements entre les notions abordées), et d'écrire (sans rire) que "le libéralisme est un humanisme" (titre de la première partie, page 16).En un mot, cet ouvrage est au néolibéralisme ce que la constitution soviétique de 1936 fut au communisme. Rappelons que dans le mme temps où il faisait disparatre des dizaines de millions de personnes au Goulag, Staline couchait par écrit la loi fondamentale la plus humaniste du monde.
Salin : idéologie libérale et imposture .

Pascal Salin est l'un des idéologues libéraux vénérés des étudiants bien peignés du XVI arrondissement, DESS finance de Dauphine.Ce monsieur sait tout du libéralisme (il nous demande de le croire). Le libéralisme est la fin de l'Homme, cet homme pris en tant qu'individu, dans ses rapports contractuels avec les autres. Nous sommes proches d'un Rousseauisme et du "Contrat social". L'homme prime sur tout, en tant qu'individu. L'Etat est une contrainte dont les actions toujours trop fréquentes doivent tre combattues sans relche."Qu'il s'agisse de monnaie, d'échanges commerciaux ou d'immigration (...), on est confronté à un conflit majeur, celui qui oppose la liberté des personnes à la prétention des États de décider de ce qui est censé étre bon pour la "nation" (pp. 489-490)Pour illustrer la constante idéologique de ce professeur, la crise des subprimes est due non pas au libre cours du capitalisme boursier tel que nous le décrit magistralement Jean-Luc Gréau, ancien chef économiste du MEDEF dans La trahison des économistes, mais (je ne blague pas) à cause du trop d'Etat !!! Oui vous avez bien lu. C'est l'Etat qui interdit, par son action, au marché de s'auto-réguler comme sa nature le lui prescrirait.De telles absurdités conduisent ce monsieur à rendre responsables les Etats dans la crise financière cataclysmique actuelle, à vénérer encore plus fort le mythe de l'auto-régulation des marchés, dont le mensonge a été décrit par Jacques Sapir La fin de l'eurolibéralisme, à vouloir détruire toutes les prétentions de l'Etat à défendre la nation quand celle-ci, l'actualité le montre, est en danger, et pis encore, à se faire l'ardent promoteur des fonds de pension pour apporter plus de liquidités dans le marché.Ce monsieur n'a rien compris. Les liquidités sont abondantes et investies dans les titres ... d'Etat (bons du Trésor). Les fonds de pension perdent des milliards de dollars chaque mois (2.000 milliards de dollars perdus en 18 mois d'après le rapport du Congressional Budget Office du 8 octobre 2008), les retraités anglo-saxons piégés par le système de retraites par capitalisation sont contraints de travailler etc.Cette fumisterie libérale n'a que trop duré. Trop de souffrance sociale. Trop de dette publique, dont vous messieurs les libéraux, tes redevables, notamment par l'aveugle promotion de ce capitalisme boursier destructeur de richesses, ce capitalisme des fonds de pension exigeant des taux de rendement sur capital de 15%, irréel en économie sur la durée (le taux de croissance moyen de l'économie mondiale sur les 1.000 dernières années est de 2,1% - cf. rapport OCDE 2001 Maddison) qui a imposé les délocalisations de nos industries, détruit nos emplois, et du mantra mensonger de la "concurrence libre et non faussée" qui gouvernait le néfaste projet de Traité Constitutionnel Européen.Mesurez l'auto-illumination de cet homme éteint (P 500) :"On ne peut pas vouloir une chose et son contraire, on ne peut pas proclamer la liberté et accepter l'esclavage. Rechercher une troisième voie mythique entre le collectivisme et l'individualisme, se prétendre tolérant parce qu'on admet les compromis, ce n'est pas seulement un manque de lucidité c'est une véritable trahison. Il faut du courage pour tre libre, mais il faut aussi du courage pour tre libéral dans ce monde de fausses valeurs, d'alibis douteux, de compromis idéologiques, de mimétisme intellectuel et de démagogie politicienne où l'humanisme libéral est ignoré, déformé, caricaturé jusqu'à la haine. Dans l'ouragan idéologique qui a balayé le XXème siècle et où nazisme, communisme, mais aussi social-démocratie ont failli faire périr l'idée éternelle et universelle de la liberté individuelle, c'est l'honneur de quelques hommes, de quelques grands penseurs d'avoir pris le risque intellectuel et personnel de sauver cette idée, de la développer, d'en rechercher sans relche les implications, de la diffuser. Au-delà, bien au-delà des simples recettes économiques, elle rencontre l'adhésion d'un nombre croissant d'hommes et de femmes de talent, de jeunes surtout, lassés du conformisme de leur époque. Ils découvrent, ils redécouvrent que l'humanisme n'est pas mort et que l'humanisme ne peut avoir d'autre visage que celui du libéralisme""Libéralisme" de Pascal Salin : un ouvrage d'imposteur.


Product Details

EAN : 9782738108098
Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 10 inches
Width : 7 inches
Author : Pascal Salin
Binding : Broché
Manufacturer : Odile Jacob
PublicationDate : 2000-04-15
Publisher : Odile Jacob
SKU : 3_2738108091
Studio : Odile Jacob

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