Prix : EUR 10,00
This review is from : Ça Va Mal Finir
a fait du bien .
J'ai beaucoup aimé ce livre, rapide à lire, mais sans doute plus profond que ce que l'on peut croire.Une lettre adressée à NS... avec une forme de désamour (y a t il eu amour ?) mais surtout la mise en lumière du changement institutionnel que nous vivons.J'aime léotard parce qu'il fait partie de ceux qui ont su se détacher de la vie politique sans devenir de vieux crocodiles.J'aime surtout qu'il nous met en perspective notre histoire institutionnelle, constitutionnelle, les grands hommes de notre vie politique face aux bassesses d'in système médiatique avant tout (pas à cause des médias mais de notre propre médiocrité collective et personnelle).A conseiller mme à ceux qui aiment NS... parce que lorsqu'on aime qqun, la critique est aussi une preuve de recul et d'attachement non ?
a fait du bien .
J'ai beaucoup aimé ce livre, rapide à lire, mais sans doute plus profond que ce que l'on peut croire.Une lettre adressée à NS... avec une forme de désamour (y a t il eu amour ?) mais surtout la mise en lumière du changement institutionnel que nous vivons.J'aime léotard parce qu'il fait partie de ceux qui ont su se détacher de la vie politique sans devenir de vieux crocodiles.J'aime surtout qu'il nous met en perspective notre histoire institutionnelle, constitutionnelle, les grands hommes de notre vie politique face aux bassesses d'in système médiatique avant tout (pas à cause des médias mais de notre propre médiocrité collective et personnelle).A conseiller mme à ceux qui aiment NS... parce que lorsqu'on aime qqun, la critique est aussi une preuve de recul et d'attachement non ?
Ça Va Mal Finir Reviews
Frere Francois .
D'aucun l'avait un peu perdu de vue et certains mme n'avaient plus de nouvelles depuis qu'il avait quitté l'abbaye, seulement voila, c'eut été enterrer le bonhomme un peu vite et c'est tout vétu de la panoplie du parfait rebelle que l'ancien seminariste nous revient avec un livre qui ne se gene pas pour balancer quelques verités bien senties.Evidemment on pourra se demander ce qui a poussé frére Francois a arborer une panoplie qui sied quand meme plus crediblement à Philippe Manoeuvre qu'a lui, mais foin de details vestimentaires et venons en sans plus tarder au livre.L'ancien ministre du centre y explique sa déception face aux choix économiques, son incompréhension à voir la chronique élyséenne s'alimenter des intermittences du caeur sous les ombrage de la Lanterne et des escapades à Saint-Tropez, mais surtout son inquiétude entre réception des cancres du passage en terminale de la démocratie (El-Assad, Kadhafi...) et stigmatisation des étrangers.On ne l'imaginait pas si révolté, on est heureusement surpris !
Frere Francois .
D'aucun l'avait un peu perdu de vue et certains mme n'avaient plus de nouvelles depuis qu'il avait quitté l'abbaye, seulement voila, c'eut été enterrer le bonhomme un peu vite et c'est tout vétu de la panoplie du parfait rebelle que l'ancien seminariste nous revient avec un livre qui ne se gene pas pour balancer quelques verités bien senties.Evidemment on pourra se demander ce qui a poussé frére Francois a arborer une panoplie qui sied quand meme plus crediblement à Philippe Manoeuvre qu'a lui, mais foin de details vestimentaires et venons en sans plus tarder au livre.L'ancien ministre du centre y explique sa déception face aux choix économiques, son incompréhension à voir la chronique élyséenne s'alimenter des intermittences du caeur sous les ombrage de la Lanterne et des escapades à Saint-Tropez, mais surtout son inquiétude entre réception des cancres du passage en terminale de la démocratie (El-Assad, Kadhafi...) et stigmatisation des étrangers.On ne l'imaginait pas si révolté, on est heureusement surpris !
Ça Va Mal Finir Opinions
De Nicolas et de Franois. .
Ce petit livre (une petite heure pour une lecture attentive) est plus important par l'idée de son existence mme que par l'apport politique de son contenu. L'idée est que Franois Léotard, qui a été ministre d'Edouard Balladur, en mme temps que Nicolas Sarkozy, qui a été comme il le dit "tué", comme Nicolas Sarkozy, par le grand fauve Jacques Chirac, a voté comme beaucoup de franais pour Nicolas Sarkozy. Mais maintenant, Franois Léotard constate l'erreur de casting, Nicolas Sarkozy n'est pas à la hauteur de la fonction (précisons cependant que le choix n'existait pas pour autant car Franois Léotard ne considère évidemment pas que Ségolène Royal aurait été une alternative). C'était l'idée et l'on peut reconnaitre qu'elle est forte et "couteuse" (Franois Léotard reconnait que la grande différenc entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy est que le premier "tue" mais pardonne, alors que Nicolas Sarkozy n'oublie jamais...le livre de Franois Léotard va donc le doter d'un ennemi de haut niveau !).Maintenant sur le fond, le livre n'est pas une analyse politique. Franois Léotard fait appel à la littérature classique et antique, à la philosophie, à son frère toujour regretté... On part un peu dans tous les sens,y compris dans la politique fiction. Ce livre est un mouvement d'humeur, une distraction littéraire, un objet non clairement identifié... De plus, Franois Léotard reprend les éléments qui justifient "cette rupture" et on est surpris en ce qui concerne la politique d'immigration de découvrir par exemple le ministère "de l'identité nationale", élément qui avait été pourtant clairement annoncé par le candidat Sarkozy. On peut se demander si avant de voter, Franois Léotard avait bien lu le programme du candidat...Mais enfin comme dans tous les livres, on pourra toujours trouver quelques éléments intéressant. Au cas d'espèce on croise Alain Madelin sortant du bureau du Président en fumant un gros cigare et déclarant à son interlocuteur surpris "L'Elyssé c'est maintenant le seul endroit où l'on peut librement fumer en France", confirmation donc des réunions enfumées décrites par Yasmina Reza dans l'aube, le soir, la nuit.
De Nicolas et de Franois. .
Ce petit livre (une petite heure pour une lecture attentive) est plus important par l'idée de son existence mme que par l'apport politique de son contenu. L'idée est que Franois Léotard, qui a été ministre d'Edouard Balladur, en mme temps que Nicolas Sarkozy, qui a été comme il le dit "tué", comme Nicolas Sarkozy, par le grand fauve Jacques Chirac, a voté comme beaucoup de franais pour Nicolas Sarkozy. Mais maintenant, Franois Léotard constate l'erreur de casting, Nicolas Sarkozy n'est pas à la hauteur de la fonction (précisons cependant que le choix n'existait pas pour autant car Franois Léotard ne considère évidemment pas que Ségolène Royal aurait été une alternative). C'était l'idée et l'on peut reconnaitre qu'elle est forte et "couteuse" (Franois Léotard reconnait que la grande différenc entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy est que le premier "tue" mais pardonne, alors que Nicolas Sarkozy n'oublie jamais...le livre de Franois Léotard va donc le doter d'un ennemi de haut niveau !).Maintenant sur le fond, le livre n'est pas une analyse politique. Franois Léotard fait appel à la littérature classique et antique, à la philosophie, à son frère toujour regretté... On part un peu dans tous les sens,y compris dans la politique fiction. Ce livre est un mouvement d'humeur, une distraction littéraire, un objet non clairement identifié... De plus, Franois Léotard reprend les éléments qui justifient "cette rupture" et on est surpris en ce qui concerne la politique d'immigration de découvrir par exemple le ministère "de l'identité nationale", élément qui avait été pourtant clairement annoncé par le candidat Sarkozy. On peut se demander si avant de voter, Franois Léotard avait bien lu le programme du candidat...Mais enfin comme dans tous les livres, on pourra toujours trouver quelques éléments intéressant. Au cas d'espèce on croise Alain Madelin sortant du bureau du Président en fumant un gros cigare et déclarant à son interlocuteur surpris "L'Elyssé c'est maintenant le seul endroit où l'on peut librement fumer en France", confirmation donc des réunions enfumées décrites par Yasmina Reza dans l'aube, le soir, la nuit.
J'espère toujours .
J'étais un fan inconditionnel de Sarko, lui faisant confiance pour amener la France dans le 21ème siècle, avec des réformes tellement évidentes et indispensables que mme les Socialistes des autres pays que la France les font. Mais je crains qu'il n'ai pété les plombs encore plus vite que Giscard. Grosse tte? Carla? Amis pas clair? Intellect limite? Dieu merci il y a des Léotard pour briser le silence. Bonne lecture, Nicolas!
J'étais un fan inconditionnel de Sarko, lui faisant confiance pour amener la France dans le 21ème siècle, avec des réformes tellement évidentes et indispensables que mme les Socialistes des autres pays que la France les font. Mais je crains qu'il n'ai pété les plombs encore plus vite que Giscard. Grosse tte? Carla? Amis pas clair? Intellect limite? Dieu merci il y a des Léotard pour briser le silence. Bonne lecture, Nicolas!
Leotard que jamais ! .
D'aucun l'avait un peu perdu de vue et certains mme n'avaient plus de nouvelles depuis qu'il avait quitté l'abbaye, seulement voila, c'eut été enterrer le bonhomme un peu vite et c'est tout vétu de la panoplie du parfait rebelle que l'ancien seminariste nous revient avec un livre qui ne se gene pas pour balancer quelques verités bien senties.Evidemment on pourra se demander ce qui a poussé frére Francois a arborer une panoplie qui sied quand meme plus crediblement à Philippe Manoeuvre qu'a lui, mais foin de details vestimentaires et venons en sans plus tarder au livre.L'ancien ministre du centre y explique sa déception face aux choix économiques, son incompréhension à voir la chronique élyséenne s'alimenter des intermittences du caeur sous les ombrage de la Lanterne et des escapades à Saint-Tropez, mais surtout son inquiétude entre réception des cancres du passage en terminale de la démocratie (El-Assad, Kadhafi...) et stigmatisation des étrangers.On ne l'imaginait pas si révolté, on est heureusement surpris !
D'aucun l'avait un peu perdu de vue et certains mme n'avaient plus de nouvelles depuis qu'il avait quitté l'abbaye, seulement voila, c'eut été enterrer le bonhomme un peu vite et c'est tout vétu de la panoplie du parfait rebelle que l'ancien seminariste nous revient avec un livre qui ne se gene pas pour balancer quelques verités bien senties.Evidemment on pourra se demander ce qui a poussé frére Francois a arborer une panoplie qui sied quand meme plus crediblement à Philippe Manoeuvre qu'a lui, mais foin de details vestimentaires et venons en sans plus tarder au livre.L'ancien ministre du centre y explique sa déception face aux choix économiques, son incompréhension à voir la chronique élyséenne s'alimenter des intermittences du caeur sous les ombrage de la Lanterne et des escapades à Saint-Tropez, mais surtout son inquiétude entre réception des cancres du passage en terminale de la démocratie (El-Assad, Kadhafi...) et stigmatisation des étrangers.On ne l'imaginait pas si révolté, on est heureusement surpris !
La fin de la démocratie .
Non, il ne s'agit pas d'un propos de gauchiste, mais d'un propos émis par un homme retiré des affaires politiques. L'essentiel de ce livre est dans la critique appuyée de l'élection présidentielle. Pas celle de untel ou de untel, mais toutes les élections de ce type. Si a va mal finir, c'est parce qu'il s'agit d'une erreur tragique. L'élection présidentielle est un contresens à la démocratie. Parce que ce n'est plus le Parlement qui fait avancer le pays, mais un président qui monopolise le pouvoir. Léotard souligne ici ce qui n'est plus dénoncé par personne, ni à gauche, ni à droite :"Au fond, qu'est-ce c'est que cette histoire d'élection d'un Président au suffrage universel ? Je parle de la ntre, la franaise, la plus stupide de toutes dans sa brutalité mme. On sait maintenant que cela rend les candidats fous et les électeurs légèrement ivres.. On sait que ctoyer la puissance (l'ubris grecque dont se méfiaient les philosophes athéniens) diffuse des pathologies vraiment stupéfiantes. On sait surtout qu'à 51/49 on joue avec le feu."(p. 36)
Non, il ne s'agit pas d'un propos de gauchiste, mais d'un propos émis par un homme retiré des affaires politiques. L'essentiel de ce livre est dans la critique appuyée de l'élection présidentielle. Pas celle de untel ou de untel, mais toutes les élections de ce type. Si a va mal finir, c'est parce qu'il s'agit d'une erreur tragique. L'élection présidentielle est un contresens à la démocratie. Parce que ce n'est plus le Parlement qui fait avancer le pays, mais un président qui monopolise le pouvoir. Léotard souligne ici ce qui n'est plus dénoncé par personne, ni à gauche, ni à droite :"Au fond, qu'est-ce c'est que cette histoire d'élection d'un Président au suffrage universel ? Je parle de la ntre, la franaise, la plus stupide de toutes dans sa brutalité mme. On sait maintenant que cela rend les candidats fous et les électeurs légèrement ivres.. On sait que ctoyer la puissance (l'ubris grecque dont se méfiaient les philosophes athéniens) diffuse des pathologies vraiment stupéfiantes. On sait surtout qu'à 51/49 on joue avec le feu."(p. 36)
une vérité de plus .
ce livre nous fait prendre conscience de certains de nos actestrés bonne écriture
ce livre nous fait prendre conscience de certains de nos actestrés bonne écriture
"bien vu" .
Petit ouvrage bien écrit, bien pensé,réaliste.Un homme cultivé,bien élevéplein de bon sens est capable de dévoilé bien des choses. A lire sans a priori
Petit ouvrage bien écrit, bien pensé,réaliste.Un homme cultivé,bien élevéplein de bon sens est capable de dévoilé bien des choses. A lire sans a priori
Cons Review
de plaisir en déception .
Je connaissais "le" Léotard politique......Je ne l'avais jamais lu . Dans cet ouvrage , il lance le lecteur dans un style attractif , ironique , anecdotique et taquin .....avec , dès le début , de nombreux appuis littéraires classiques ( qui vont s'avérer par la suite , pompeux pour en devenir ennuyeux et ennuyants .) Hormis la trop rapide séquence de politique fiction qui nous sort de ce catalogue de références livresques dans lequel l'auteur nous replonge sans cesse ,le titre ne vaut pas le contenu qui s'endort une fois le quart de l'ouvrage avalé. .......un peu comme un compact disque qui est "lancé" par un titre phare , incitant l'auditeur à vouloir se procurer l'album tout entier , tant ce qu'il a entendu est plaisant et qui se retrouve déu avec le restant des compositions qui figurent sur le produit. En ce qui concerne cet ouvrage , le "single" serait le titre !!avec une bonne entame ; la suite.......
Je connaissais "le" Léotard politique......Je ne l'avais jamais lu . Dans cet ouvrage , il lance le lecteur dans un style attractif , ironique , anecdotique et taquin .....avec , dès le début , de nombreux appuis littéraires classiques ( qui vont s'avérer par la suite , pompeux pour en devenir ennuyeux et ennuyants .) Hormis la trop rapide séquence de politique fiction qui nous sort de ce catalogue de références livresques dans lequel l'auteur nous replonge sans cesse ,le titre ne vaut pas le contenu qui s'endort une fois le quart de l'ouvrage avalé. .......un peu comme un compact disque qui est "lancé" par un titre phare , incitant l'auditeur à vouloir se procurer l'album tout entier , tant ce qu'il a entendu est plaisant et qui se retrouve déu avec le restant des compositions qui figurent sur le produit. En ce qui concerne cet ouvrage , le "single" serait le titre !!avec une bonne entame ; la suite.......
Du religieux .
Quelques saillies assez bien vues, quelques anecdotes amusantes, mais le tout est trop superficiel, ténu et hasardeux. Commenant comme un évangeliste racontant la naissance du monde sarkozien, Léotard poursuit comme son confesseur, des fautes vénielles bien sr. Et pourtant, il en sait des choses le Léotard, pas très racontables, mais comme il disait l'autre Léotard quand il était un peu bourré : "le moins c.. des deux n'est pas celui qu'on pense".
Quelques saillies assez bien vues, quelques anecdotes amusantes, mais le tout est trop superficiel, ténu et hasardeux. Commenant comme un évangeliste racontant la naissance du monde sarkozien, Léotard poursuit comme son confesseur, des fautes vénielles bien sr. Et pourtant, il en sait des choses le Léotard, pas très racontables, mais comme il disait l'autre Léotard quand il était un peu bourré : "le moins c.. des deux n'est pas celui qu'on pense".
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Product Details
EAN : 9782246737919Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : François Léotard
Binding : Broché
Manufacturer : Grasset & Fasquelle
PublicationDate : 2008-03-12
Publisher : Grasset & Fasquelle
SKU : 366325D0AD8B
Studio : Grasset & Fasquelle
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