Prix : EUR 20,50
This review is from : L'audace d'espérer : Une nouvelle conception de la politique américaine
Obama Sénateur .
Dans la préface de L'audace d'espérer (que j'ai lu en anglais), Barack Obama mentionne une journaliste qui lui dit avoir aimé son premier livre, Rves de mon père. Elle ajoute cependant, Je me demande si tu pourras tre aussi intéressant dans le prochain que tu écriras. Le sens qu'Obama prte à ce propos, c'est que celle-ci se demande s'il écrira avec autant de franchise maintenant qu'il est sénateur ou s'il sentira le besoin de peser ses mots pour éviter la controverse.À mon sens, Obama surmonte ce défi efficacement. D'autre part, il n'a pas tout dit dans Rves de mon père. En effet, depuis ce premier récit, onze années se sont écoulées durant lesquelles Obama a entamé une carrière politique. Il raconte ce que c'est que de mener une course électorale, puis ce que c'est que d'tre sénateur - le travail requis, les contraintes du poste... Ce livre est moins autobiographique que le premier, consacrant une part plus importante à proposer des solutions concrètes aux nombreux problèmes de la société américaine (insécurité économique de l'Américain moyen, inégalités sociales, lacunes en éducation et en soins de la santé...). Il n'en demeure pas moins fascinant à lire.Obama est doué pour l'écriture, et je veux déjà lire son prochain livre, à paratre après sa présidence, je présume.
Obama Sénateur .
Dans la préface de L'audace d'espérer (que j'ai lu en anglais), Barack Obama mentionne une journaliste qui lui dit avoir aimé son premier livre, Rves de mon père. Elle ajoute cependant, Je me demande si tu pourras tre aussi intéressant dans le prochain que tu écriras. Le sens qu'Obama prte à ce propos, c'est que celle-ci se demande s'il écrira avec autant de franchise maintenant qu'il est sénateur ou s'il sentira le besoin de peser ses mots pour éviter la controverse.À mon sens, Obama surmonte ce défi efficacement. D'autre part, il n'a pas tout dit dans Rves de mon père. En effet, depuis ce premier récit, onze années se sont écoulées durant lesquelles Obama a entamé une carrière politique. Il raconte ce que c'est que de mener une course électorale, puis ce que c'est que d'tre sénateur - le travail requis, les contraintes du poste... Ce livre est moins autobiographique que le premier, consacrant une part plus importante à proposer des solutions concrètes aux nombreux problèmes de la société américaine (insécurité économique de l'Américain moyen, inégalités sociales, lacunes en éducation et en soins de la santé...). Il n'en demeure pas moins fascinant à lire.Obama est doué pour l'écriture, et je veux déjà lire son prochain livre, à paratre après sa présidence, je présume.
L'audace d'espérer : Une nouvelle conception de la politique américaine Reviews
Raisons d'espérer .
J'avais lu son premier ouvrage, lequel je n'avais pas vraiment aimé, sauf le chapitre sur son voyage au Kenya. En revanche, ce deuxième livre est beaucoup plus intéressant et rassemble les idées du candidat démocrate sur pas mal de sujets. Contrairement à Hillary Clinton, dans ses mémoires, il n'élude pas les questions comme celles de la peine de mort ou encore de l'avortement.Un trait que j'ai beaucoup aimé dans ce livre est qu'il ne parle pas en théorie mais prend des exemples concrets pour étayer ses pensées. D'aucuns diront qu'il cède au populisme mais c'est aussi la preuve qu'il n'est pas encore complètement détaché de la base. J'avoue que, parfois, certains propos relèvent encore de la naveté mais ils n'entachent pas le reste des pensées.J'aime également le fait qu'il replace les USA dans son contexte historique, depuis ses pères fondateurs. Il adopte également une position sur l'action positive et la question des "minorités visibles" [aux USA, elles sont mmes des minorités en qute de devenir majoritaires] qui est pragmatique et dénuée de rancur vindicative. Cette approche a sans doute plus de chances de succès.Bref, c'est un livre à lire. Pour les juristes, le chapitre sur la constitution américaine est assez intéressant mme s'il n'y a rien de révolutionnaire. Maintenant, comme pour tous les hommes et femmes politiques, la question est la suivante: s'il est élu, mettra-t-il en oeuvre cette nouvelle conception de la politique?
Raisons d'espérer .
J'avais lu son premier ouvrage, lequel je n'avais pas vraiment aimé, sauf le chapitre sur son voyage au Kenya. En revanche, ce deuxième livre est beaucoup plus intéressant et rassemble les idées du candidat démocrate sur pas mal de sujets. Contrairement à Hillary Clinton, dans ses mémoires, il n'élude pas les questions comme celles de la peine de mort ou encore de l'avortement.Un trait que j'ai beaucoup aimé dans ce livre est qu'il ne parle pas en théorie mais prend des exemples concrets pour étayer ses pensées. D'aucuns diront qu'il cède au populisme mais c'est aussi la preuve qu'il n'est pas encore complètement détaché de la base. J'avoue que, parfois, certains propos relèvent encore de la naveté mais ils n'entachent pas le reste des pensées.J'aime également le fait qu'il replace les USA dans son contexte historique, depuis ses pères fondateurs. Il adopte également une position sur l'action positive et la question des "minorités visibles" [aux USA, elles sont mmes des minorités en qute de devenir majoritaires] qui est pragmatique et dénuée de rancur vindicative. Cette approche a sans doute plus de chances de succès.Bref, c'est un livre à lire. Pour les juristes, le chapitre sur la constitution américaine est assez intéressant mme s'il n'y a rien de révolutionnaire. Maintenant, comme pour tous les hommes et femmes politiques, la question est la suivante: s'il est élu, mettra-t-il en oeuvre cette nouvelle conception de la politique?
L'audace d'espérer : Une nouvelle conception de la politique américaine Opinions
Barack l Obama ! .
Alors qu il s escrimait encore a tenter d improbables toupies sur la tete sur des beats hip hop encore naissants, le moins que l on puisse dire est que Barack Obama fut bien inspiré de décider de changer complétement de voie et de s orienter vers la politique, beaucoup plus prometteuse pour lui, que le break dance et ses affiliés des quartiers noirs des Etats Unis.C est dans ce nouveau métier que la chance lui a sourit et l a mené à ce qu il est aujourd hui, à savoir le 44ieme président des USA, alors que, s il n avait pas saisi pareille opportunité, il aurait sans doute végété dans le circuit très fermé des battles entre bandes de danseurs et leur inévitable descente aux enfers de la drogue, l alcoolisme et la violence a outrance.C est un peu tout cela que Barack Obama nous raconte dans ce livre. Son passé de bad boys mis aujourd hui au service d une stratégie politique particulièrement rusée et efficace qui lui a ouvert les portes de la maison blanche beaucoup plus surement que celles des maisons de disques qui se sont obstinément closes pendant toute sa jeunesse.Un esprit brillant doté d un parcours assez hors du commun, tel est le président Obama, et, après les années Bush, qui s en plaindra ?
Barack l Obama ! .
Alors qu il s escrimait encore a tenter d improbables toupies sur la tete sur des beats hip hop encore naissants, le moins que l on puisse dire est que Barack Obama fut bien inspiré de décider de changer complétement de voie et de s orienter vers la politique, beaucoup plus prometteuse pour lui, que le break dance et ses affiliés des quartiers noirs des Etats Unis.C est dans ce nouveau métier que la chance lui a sourit et l a mené à ce qu il est aujourd hui, à savoir le 44ieme président des USA, alors que, s il n avait pas saisi pareille opportunité, il aurait sans doute végété dans le circuit très fermé des battles entre bandes de danseurs et leur inévitable descente aux enfers de la drogue, l alcoolisme et la violence a outrance.C est un peu tout cela que Barack Obama nous raconte dans ce livre. Son passé de bad boys mis aujourd hui au service d une stratégie politique particulièrement rusée et efficace qui lui a ouvert les portes de la maison blanche beaucoup plus surement que celles des maisons de disques qui se sont obstinément closes pendant toute sa jeunesse.Un esprit brillant doté d un parcours assez hors du commun, tel est le président Obama, et, après les années Bush, qui s en plaindra ?
Grande hauteur de vues couplée à un réalisme politique .
J'ai lu ce livre en anglais et je l'achète pour le donner à mon petit-fils.Ce livre restera une anthologie de la science politique américaine, qu'il analyse en profondeur. Esprit d'analyse et de synthèse. Belle écriture, belle langue. Grande hauteur de vues alliée à un réalisme politique. Comment faire de la politique, servir ses électeurs, sans perdre son me et en résistant aux pressions multiples des groupes de pression. Il décrit l'influence -énorme- des medias : "Pour le grand public, je suis ce que les medias disent que je suis, je dis ce que les medias disent que je dis, je deviens ce que les medias disent que je deviens". On sent à la fois le brillant avocat, le professeur de droit constitutionnel et l'homme de terrain, ancien travailleur social.
J'ai lu ce livre en anglais et je l'achète pour le donner à mon petit-fils.Ce livre restera une anthologie de la science politique américaine, qu'il analyse en profondeur. Esprit d'analyse et de synthèse. Belle écriture, belle langue. Grande hauteur de vues alliée à un réalisme politique. Comment faire de la politique, servir ses électeurs, sans perdre son me et en résistant aux pressions multiples des groupes de pression. Il décrit l'influence -énorme- des medias : "Pour le grand public, je suis ce que les medias disent que je suis, je dis ce que les medias disent que je dis, je deviens ce que les medias disent que je deviens". On sent à la fois le brillant avocat, le professeur de droit constitutionnel et l'homme de terrain, ancien travailleur social.
Un livre trop long qui révèle cependant le rve américain .
Barack Obama est né le 4 aot 1961 à Honolulu, Hawaii. Ses parents sont alors de jeunes étudiants. Son père, économiste est Kenyan, sa mère descendante de Jefferson Davis, le président des États Confédérés d'Amérique et également d'ascendance Cherokee. Ses parents divorcent alors qu'il n'a que deux ans. Son père repart au Kenya et ne reverra qu'une seule fois son fils alors gé de 10 ans avant de mourir en 1982. Sa mère se remarie avec un étudiant originaire d'Indonésie et la famille emménage à Djakarta où Maya, la demi-saeur de Barack Obama, natra. Barack vivra 4 ans, de 1967 à 1971 en Indonésie. À l'ge de 10 ans, il revient à Hawaii vivre chez ses grands-parents, un couple modeste, pour s'assurer une meilleure scolarité qu'en Indonésie. Plus tard, sa mère le rejoindra. Obama est scolarisé à l'école Punahou, un prestigieux lycée où fut inscrit autrefois la famille royale d'Hawaii. L'auteur candidat démocrate aux élections présidentielles américaines de 2008 raconte cette enfance dans son autobiographie "Rves d'un père", celle d'une adolescence torturée, enfant à la peau noire dans un monde de blancs, en qute de ce père mythique, économiste brillant mais qui finit sa vie alcoolique et se tue accidentellement. Autant ce premier livre m'était apparu comme ouvrage fondateur de la démocratie américaine, autant ce dernier livre qui me fut recommandé à Boise, Idaho, est vraiment triste et décevant de de stratégie politique avec moult exemples : Quid de la manière de copier les Républi-cains pour leur souffler des voix ? Quid du prix du billet d'avion pour se déplacer en campagne dans un jet privé d'ami au prix d'un vol régulier première classe ? etc.... autant dire des anecdotes sans grand intért où les redondances fluctuent à n'y pas croire. Pourtant cet homme tient véritablement entre ses mains l'espoir de tout un peu-ple, que Madame Clinton ne peut satisfaire. Mais malgré le sous-titre : pensées pour recouvrer le rve américain le livre est un voyage au centre des petits tracas de cam-pagnes et des volontés marketing de prise de pouvoir. Nous sommes loin des grands idéaux que les démocrates comme Edward Irving Koch, ou plus couramment Ed Koch, le fameux maire de New York. Un livre, où l'espoir se couvre de rappels constant à l'argent qui finance les campagnes, bien trop long et sans grand intért. Barack si-gnifie béni en Swahili (groupe de langue bantoue de l'Afrique de l'Est). Cet ouvrage est bien loin des spiritualités que le qualificatif qu'il exprime. Préférez la relecture du Dreams from my father .Frédéric M. Bontemps
Barack Obama est né le 4 aot 1961 à Honolulu, Hawaii. Ses parents sont alors de jeunes étudiants. Son père, économiste est Kenyan, sa mère descendante de Jefferson Davis, le président des États Confédérés d'Amérique et également d'ascendance Cherokee. Ses parents divorcent alors qu'il n'a que deux ans. Son père repart au Kenya et ne reverra qu'une seule fois son fils alors gé de 10 ans avant de mourir en 1982. Sa mère se remarie avec un étudiant originaire d'Indonésie et la famille emménage à Djakarta où Maya, la demi-saeur de Barack Obama, natra. Barack vivra 4 ans, de 1967 à 1971 en Indonésie. À l'ge de 10 ans, il revient à Hawaii vivre chez ses grands-parents, un couple modeste, pour s'assurer une meilleure scolarité qu'en Indonésie. Plus tard, sa mère le rejoindra. Obama est scolarisé à l'école Punahou, un prestigieux lycée où fut inscrit autrefois la famille royale d'Hawaii. L'auteur candidat démocrate aux élections présidentielles américaines de 2008 raconte cette enfance dans son autobiographie "Rves d'un père", celle d'une adolescence torturée, enfant à la peau noire dans un monde de blancs, en qute de ce père mythique, économiste brillant mais qui finit sa vie alcoolique et se tue accidentellement. Autant ce premier livre m'était apparu comme ouvrage fondateur de la démocratie américaine, autant ce dernier livre qui me fut recommandé à Boise, Idaho, est vraiment triste et décevant de de stratégie politique avec moult exemples : Quid de la manière de copier les Républi-cains pour leur souffler des voix ? Quid du prix du billet d'avion pour se déplacer en campagne dans un jet privé d'ami au prix d'un vol régulier première classe ? etc.... autant dire des anecdotes sans grand intért où les redondances fluctuent à n'y pas croire. Pourtant cet homme tient véritablement entre ses mains l'espoir de tout un peu-ple, que Madame Clinton ne peut satisfaire. Mais malgré le sous-titre : pensées pour recouvrer le rve américain le livre est un voyage au centre des petits tracas de cam-pagnes et des volontés marketing de prise de pouvoir. Nous sommes loin des grands idéaux que les démocrates comme Edward Irving Koch, ou plus couramment Ed Koch, le fameux maire de New York. Un livre, où l'espoir se couvre de rappels constant à l'argent qui finance les campagnes, bien trop long et sans grand intért. Barack si-gnifie béni en Swahili (groupe de langue bantoue de l'Afrique de l'Est). Cet ouvrage est bien loin des spiritualités que le qualificatif qu'il exprime. Préférez la relecture du Dreams from my father .Frédéric M. Bontemps
Barack Obama mérite mieux que son livre .
Sorti en 2006, LAudace despérer a connu un succès impressionnant aux États-Unis (on parle de 1,3 millions dexemplaires vendus) et ce livre a accompagné le succès de sa candidature. On peut douter de lécho quil aura en France, où en dépit dun achat de droits dauteurs au prix fort par son éditeur hexagonal, il aura du mal à intéresser le grand public. Il na ni lintért des mémoires politiques dun Arthur Schlesinger ou dun Pierre Salinger, ni natteint la simplicité et la qualité des mémoires de Bill Clinton, en tous points plus nourries intellectuellement, et plus agréables à lire, que les siennes.Il faut dire aussi que le momento Obama est un peu passé de mode. Si le Sénateur de lIllinois fait toujours la course en tte sur le plan financier puisquil a récolté plus dargent en terme de fundraising que sa rivale sur la longue durée, il sest fait devancer ces dernières semaines par Hillary Clinton qui a annoncé le 3 octobre lavoir battu dans la dernière ligne droite . Surtout, les performances télévisées des deux candidats ont été défavorables pour le sénateur de lIllinois, et lécart sest creusé depuis juillet dans les sondages, condamnant Obama à passer du statut envié doutsider à celui plus difficile de challenger. La performance dObama reste néanmoins correcte dans lIowa, selon des sondages récents, et où aura lieu le premier caucus. Le week-end dernier, Barack Obama a eu plus de difficultés à New York où, en dépit dun discours sur fond de musique à la Yann Tiersen, et de formules dont son livre ne manque pas (il a dit à New York que le peuple Américain nest pas le problème ; le peuple Américain est la solution ), il na pas forcément convaincu.Le lecteur franais, naturellement séduit par lhomme et par son parcours, aurait aimé mieux le connatre et mieux comprendre ses idées grce à LAudace despérer. Malheureusement, le livre quil a écrit lui apparatra tour à tour trop général, trop personnel, toujours très politicien ou à tout le moins trop américano-centré. Cest dommage car Barack Obama mérite mieux que son livre. Mais on peut échouer dans lordre des idées et réussir dans lordre des suffrages. Ou linverse.
Sorti en 2006, LAudace despérer a connu un succès impressionnant aux États-Unis (on parle de 1,3 millions dexemplaires vendus) et ce livre a accompagné le succès de sa candidature. On peut douter de lécho quil aura en France, où en dépit dun achat de droits dauteurs au prix fort par son éditeur hexagonal, il aura du mal à intéresser le grand public. Il na ni lintért des mémoires politiques dun Arthur Schlesinger ou dun Pierre Salinger, ni natteint la simplicité et la qualité des mémoires de Bill Clinton, en tous points plus nourries intellectuellement, et plus agréables à lire, que les siennes.Il faut dire aussi que le momento Obama est un peu passé de mode. Si le Sénateur de lIllinois fait toujours la course en tte sur le plan financier puisquil a récolté plus dargent en terme de fundraising que sa rivale sur la longue durée, il sest fait devancer ces dernières semaines par Hillary Clinton qui a annoncé le 3 octobre lavoir battu dans la dernière ligne droite . Surtout, les performances télévisées des deux candidats ont été défavorables pour le sénateur de lIllinois, et lécart sest creusé depuis juillet dans les sondages, condamnant Obama à passer du statut envié doutsider à celui plus difficile de challenger. La performance dObama reste néanmoins correcte dans lIowa, selon des sondages récents, et où aura lieu le premier caucus. Le week-end dernier, Barack Obama a eu plus de difficultés à New York où, en dépit dun discours sur fond de musique à la Yann Tiersen, et de formules dont son livre ne manque pas (il a dit à New York que le peuple Américain nest pas le problème ; le peuple Américain est la solution ), il na pas forcément convaincu.Le lecteur franais, naturellement séduit par lhomme et par son parcours, aurait aimé mieux le connatre et mieux comprendre ses idées grce à LAudace despérer. Malheureusement, le livre quil a écrit lui apparatra tour à tour trop général, trop personnel, toujours très politicien ou à tout le moins trop américano-centré. Cest dommage car Barack Obama mérite mieux que son livre. Mais on peut échouer dans lordre des idées et réussir dans lordre des suffrages. Ou linverse.
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Product Details
EAN : 9782258074514Weight : 1 pounds
Height : 2 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Barack Obama
Binding : Broché
Manufacturer : Presses de la Cité
PublicationDate : 2007-04-05
Publisher : Presses de la Cité
SKU : TL2258074517
Studio : Presses de la Cité
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