Prix : EUR 23,00
This review is from : La Marche rouge : Les enfants de l'Hôpital général
ne pas se fier a la couverture .
c'est un livre passionnant,sur le peuple de France dans une periode ou l'histoire des puissants efface souvent celle des autres.Ne vous laissez pas avoir par la couveture ce livre se lit comme un roman et on apprends tout en lisant une histoire prenante!
ne pas se fier a la couverture .
c'est un livre passionnant,sur le peuple de France dans une periode ou l'histoire des puissants efface souvent celle des autres.Ne vous laissez pas avoir par la couveture ce livre se lit comme un roman et on apprends tout en lisant une histoire prenante!
La Marche rouge : Les enfants de l'Hôpital général Reviews
une vraie histoire .
plus qu'un simple roman, une étude sur le monde affolant de la cour et de ses penseurs, l'hypocrisie religieuse et une analyse , preuves à l'appui, des conditions de vie des pauvres et des malades : devrait tre donné en extrait aux éléves de 4ème qui travaille sur Les Lumières
une vraie histoire .
plus qu'un simple roman, une étude sur le monde affolant de la cour et de ses penseurs, l'hypocrisie religieuse et une analyse , preuves à l'appui, des conditions de vie des pauvres et des malades : devrait tre donné en extrait aux éléves de 4ème qui travaille sur Les Lumières
La Marche rouge : Les enfants de l'Hôpital général Opinions
Vous avez dit siècle des lumières ? .
L'auteure de cet essai est historienne et elle argumente fort à propos le contenu de cet essai qui se lit c'est vrai comme un roman bien que j'ai parfois perdu le fil dans la querelle entre jansénistes et jésuites pour l'administration de l'Hopital Général.Cependant et pour une fois, l'Eglise doit tre mise hors de cause dans ces odieux trafics d'enfants d'adolescents et de jeunes filles ou femmes qui eurent lieu sous les rois Louis XIV, Louis XV, Louis XVI et mme à la Révolution et avaient pour base de départ l'Hopital Général (Pitié, Salpétrière et Bictre).L'auteure tente bien de dédouanner quelque peu les rois, puisque par la volonté de Louis XIV en 1656, l'administration de cet ensemble qui avait pour tche initialement de faire disparatre mendiants et autres coupe-bourses de la ville de Paris, fut confiée au parlement qui était il faut le rappeler à l'époque l'ensemble des magistrats censés enregistrer les édits et décisions du roi.Elle n'est pas tendre avec les philosophes de l'époque et Voltaire en particulier qu'elle suspecte d'approuver les pédérastes (Deschauffours), les jansénistes et autres francs-maons qui ont trempé à pleines mains dans les exactions de cette oeuvre de charité. La marche rouge des parisiens qui se sont élevés contre les rapts d'enfants est rendue dans tous ses détails avec des noms à l'appui. Elle montre la promptitude du peuple de Paris à s'enflammer et à se serrer les coudes lorsque l'essentiel est en jeu et préfigure déjà la Prise de la Bastille du 14 juillet 1789.Enfin si actuellement nous vivons dans un monde surmédiatisé, il faut reconnatre qu'à l'époque tout partait de la rumeur, que celle-ci était difficile à accréditer mais une fois en marche rien ne l'arrtait.En quelque sorte Marion SIGAUT rétablit la vérité sur une époque, pas si éloignée que a de la ntre où déjà le vice, les calculs économiques (Enlèvements pour les colonies) les profits personnels (tenanciers ou tenancières de bordels en tous genres) jettent une ombre sur le siécle des lumières.
Vous avez dit siècle des lumières ? .
L'auteure de cet essai est historienne et elle argumente fort à propos le contenu de cet essai qui se lit c'est vrai comme un roman bien que j'ai parfois perdu le fil dans la querelle entre jansénistes et jésuites pour l'administration de l'Hopital Général.Cependant et pour une fois, l'Eglise doit tre mise hors de cause dans ces odieux trafics d'enfants d'adolescents et de jeunes filles ou femmes qui eurent lieu sous les rois Louis XIV, Louis XV, Louis XVI et mme à la Révolution et avaient pour base de départ l'Hopital Général (Pitié, Salpétrière et Bictre).L'auteure tente bien de dédouanner quelque peu les rois, puisque par la volonté de Louis XIV en 1656, l'administration de cet ensemble qui avait pour tche initialement de faire disparatre mendiants et autres coupe-bourses de la ville de Paris, fut confiée au parlement qui était il faut le rappeler à l'époque l'ensemble des magistrats censés enregistrer les édits et décisions du roi.Elle n'est pas tendre avec les philosophes de l'époque et Voltaire en particulier qu'elle suspecte d'approuver les pédérastes (Deschauffours), les jansénistes et autres francs-maons qui ont trempé à pleines mains dans les exactions de cette oeuvre de charité. La marche rouge des parisiens qui se sont élevés contre les rapts d'enfants est rendue dans tous ses détails avec des noms à l'appui. Elle montre la promptitude du peuple de Paris à s'enflammer et à se serrer les coudes lorsque l'essentiel est en jeu et préfigure déjà la Prise de la Bastille du 14 juillet 1789.Enfin si actuellement nous vivons dans un monde surmédiatisé, il faut reconnatre qu'à l'époque tout partait de la rumeur, que celle-ci était difficile à accréditer mais une fois en marche rien ne l'arrtait.En quelque sorte Marion SIGAUT rétablit la vérité sur une époque, pas si éloignée que a de la ntre où déjà le vice, les calculs économiques (Enlèvements pour les colonies) les profits personnels (tenanciers ou tenancières de bordels en tous genres) jettent une ombre sur le siécle des lumières.
Cons Review
Amalgame putride .
La thèse de l'auteur consiste à s'appuyer sur des faits sans preuves pour en inférer une théorie sordide qui elle-mme s'appuie sur des ragots concernant des personnages de l'Histoire controversés comme La Pompadour dont les propos sont interprétés pour venir confirmer la thèse avancée. Le procédé parat relever plus d'une opération de propagande politique (l'auteur est soutenu par E&R qui ne cache pas ses sympathies communistes et a fortement tendance à appliquer une grille de lecture marxiste sur l'Histoire) que d'un véritable travail d'historien s'appuyant sur des sources sérieuses. Des témoignages d'époque viennent infirmer les calomnies faciles à propos de la Pompadour, notamment ceux de Mme Vigée Lebrun qui l'a fort bien connue (voir ses Mémoires) et la décrit comme une personne d'une remarquable générosité vis à vis des déshérités. L'auteur oublie aussi que Louis XV a eu huit filles qui n'ont pas fini dans son lit, mais pour certaines sont devenues de saintes.
La thèse de l'auteur consiste à s'appuyer sur des faits sans preuves pour en inférer une théorie sordide qui elle-mme s'appuie sur des ragots concernant des personnages de l'Histoire controversés comme La Pompadour dont les propos sont interprétés pour venir confirmer la thèse avancée. Le procédé parat relever plus d'une opération de propagande politique (l'auteur est soutenu par E&R qui ne cache pas ses sympathies communistes et a fortement tendance à appliquer une grille de lecture marxiste sur l'Histoire) que d'un véritable travail d'historien s'appuyant sur des sources sérieuses. Des témoignages d'époque viennent infirmer les calomnies faciles à propos de la Pompadour, notamment ceux de Mme Vigée Lebrun qui l'a fort bien connue (voir ses Mémoires) et la décrit comme une personne d'une remarquable générosité vis à vis des déshérités. L'auteur oublie aussi que Louis XV a eu huit filles qui n'ont pas fini dans son lit, mais pour certaines sont devenues de saintes.
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Product Details
EAN : 9782742774777Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Marion Sigaut
Binding : Broché
Manufacturer : Jacqueline Chambon Editions
PublicationDate : 2008-11-07
Publisher : Jacqueline Chambon Editions
SKU : 749782742774777
Studio : Jacqueline Chambon Editions
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