Prix : EUR 12,50
Zéro espace, zéro choix, zéro boulot : tel est, selon Naomi Klein, la société issue de la mondialisation et du règne des marques. Zéro espace, car la ville est envahie par la publicité. Les logos s'étalent même sur nos vêtements. Zéro choix, car le commerce indépendant ou local disparaît au profit de chaînes. Manger un en-cas veut souvent dire aller au McDo, de New York à Marseille, en passant par Buenos Aires. Zéro choix, c'est aussi l'influence des marques sur notre imaginaire, notre personnalité : impossible d'offrir une veste si ce n'est pas une Gap. Troisième conséquence de la mondialisation : zéro boulot. Les années quatre-vingt-dix ont marqué un tournant dans la conception même de la marque : les entreprises ne vendent plus des objets, mais des concepts. Nike ne produit plus des chaussures de sport, mais devient le sport à l'état pur. Résultat : les budgets et l'énergie de l'entreprise sont centrés sur le branding. La production, elle, devient secondaire et est délocalisée dans le Tiers-Monde. Ces emplois perdus en Occident devraient logiquement alimenter la croissance du Tiers-Monde. Or, selon l'auteur, les conditions de travail sont tellement pénibles et les salaires tellement bas dans les sweatshops des zones franches que cette délocalisation ne profite pas à ces populations, mais uniquement aux multinationales. Alors comment réagir ? Puisque les États semblent impuissants, boycotts, manifestations anti-mondialisation, information des consommateurs semblent être les armes des citoyens. Certaines font reculer l'empire des marques… Naomi Klein, journaliste indépendante canadienne, offre avec No Logo une enquête de terrain, alimentée de nombreux chiffres et témoignages. S'inscrivant dans le mouvement anti-mondialisation qui s'affirme de Seattle aux campagnes françaises contre la malbouffe, No Logo est en passe de devenir un livre-culte. Cela malgré quelques pistes non explorées : en effet, a qui profite la mondialisation ? N'est-ce pas elle qui alimente aussi en produits de qualité et très bon marché nos propres supermarchés offrant à ceux qui n'en avaient pas les moyens auparavant un accès aux biens de consommation ? --Valérie Plomb
Ne pas confondre... .
... ce n'est pas un argumentaire philosophique ou économique définitif sur la mondialisation, et le propos principal n'est pas l'analyse. Ce n'est d'ailleurs pas l'intention.Le propos, remis dans le contexte Nord-Américain, est celui d'une prise de conscience. Il s'agit d'un ouvrage où l'énumération de faits, dans la tradition journalistique anglo-saxonne, vise à réveiller la conscience de certains consommateurs, et non à tenter un démontage délicat des mécanismes ou à trouver des solutions.De fait, c'est un ouvrage grand public, dont la lecture est assez aisée malgré le foisonnement d'exemples ; vouloir le comparer à des choses plus exigeantes et solides intellectuellement, mais qui ont la fcheuse tendance à tomber des mains du plus grand nombre, est à mon humble avis, une erreur. Beaucoup de lecteurs y trouveront leur compte.
... ce n'est pas un argumentaire philosophique ou économique définitif sur la mondialisation, et le propos principal n'est pas l'analyse. Ce n'est d'ailleurs pas l'intention.Le propos, remis dans le contexte Nord-Américain, est celui d'une prise de conscience. Il s'agit d'un ouvrage où l'énumération de faits, dans la tradition journalistique anglo-saxonne, vise à réveiller la conscience de certains consommateurs, et non à tenter un démontage délicat des mécanismes ou à trouver des solutions.De fait, c'est un ouvrage grand public, dont la lecture est assez aisée malgré le foisonnement d'exemples ; vouloir le comparer à des choses plus exigeantes et solides intellectuellement, mais qui ont la fcheuse tendance à tomber des mains du plus grand nombre, est à mon humble avis, une erreur. Beaucoup de lecteurs y trouveront leur compte.
Les marques sont-elles tyranniques ? .
Quand j'ai lu ce livre, à sa parution, je suis un peu passé à cté, à tort. Travaillant moi-mme dans le secteur que Naomi Klein accuse (le marketing), je l'avais un peu pris pour un brlot anti-marques. Dix ans plus tard, je l'ai repris pour y chercher quelques références... et je l'ai relu avec plus de distance et d'intért.Chercheuse canadienne, Naomi Klein dresse un impitoyable réquisitoire contre les grandes entreprises qui ont cessé de se préoccuper de choses aussi triviales que de fabriquer des produits (et les ont donc sous-traités à des "sweatshops" dans le Tiers Monde) pour se concentrer sur leurs marques. Si le livre n'est pas exempt de caricatures ni d'exagérations, la tyrannie du logo a effectivement des conséquences sociales évidentes, terribles. Et, à le relire aujourd'hui, avec la grande crise financière, il apparat mme relativement prophétique : l'auteur y annonait en effet que ces conséquences sociales toucheraient aussi à terme les pays occidentaux et que, à défaut du NO LOGO, on se retrouverait bientt avec NO JOB.Là où on n'est pas obligé de la suivre (en tout cas pas moi) c'est quand on se rend compte que sa critique des marques n'est qu'une étape dans une critique plus globale anti capitaliste et anti occidentale. Mais le livre a le mérite d'ouvrir un débat et d'tre très bien argumenté. Et lire de bons livres avec lesquels on n'est pas d'accord est toujours stimulant.Et puis, c'est un sujet sur lequel Klein glisse un peu vite, on le comprend car elle déteste tellement les grandes entreprises, c'est sur la responsabilité partagée avec les consommateurs. Quand on achète un T-shirt vietnamien à 1 euro, on sait parfaitement qu'il ne peut pas avoir été produit décemment. N'est-on pas u peu complice alors ?No Logo est malheureusement quelque peu "défiguré" par une traduction exécrable, empruntée semble-t-il à l'édition canadienne. Quelqu'un peut-il dire à l'éditeur que les Québécois et les Franais ne partagent pas tout à fait le mme franais ce qui donne l'impression de lire Klein avec quelques québecquismes malvenus (l'inverse serait tout aussi vrai si nos cousins de la Belle Province lisaient un livre bourré de gallicismes).
Quand j'ai lu ce livre, à sa parution, je suis un peu passé à cté, à tort. Travaillant moi-mme dans le secteur que Naomi Klein accuse (le marketing), je l'avais un peu pris pour un brlot anti-marques. Dix ans plus tard, je l'ai repris pour y chercher quelques références... et je l'ai relu avec plus de distance et d'intért.Chercheuse canadienne, Naomi Klein dresse un impitoyable réquisitoire contre les grandes entreprises qui ont cessé de se préoccuper de choses aussi triviales que de fabriquer des produits (et les ont donc sous-traités à des "sweatshops" dans le Tiers Monde) pour se concentrer sur leurs marques. Si le livre n'est pas exempt de caricatures ni d'exagérations, la tyrannie du logo a effectivement des conséquences sociales évidentes, terribles. Et, à le relire aujourd'hui, avec la grande crise financière, il apparat mme relativement prophétique : l'auteur y annonait en effet que ces conséquences sociales toucheraient aussi à terme les pays occidentaux et que, à défaut du NO LOGO, on se retrouverait bientt avec NO JOB.Là où on n'est pas obligé de la suivre (en tout cas pas moi) c'est quand on se rend compte que sa critique des marques n'est qu'une étape dans une critique plus globale anti capitaliste et anti occidentale. Mais le livre a le mérite d'ouvrir un débat et d'tre très bien argumenté. Et lire de bons livres avec lesquels on n'est pas d'accord est toujours stimulant.Et puis, c'est un sujet sur lequel Klein glisse un peu vite, on le comprend car elle déteste tellement les grandes entreprises, c'est sur la responsabilité partagée avec les consommateurs. Quand on achète un T-shirt vietnamien à 1 euro, on sait parfaitement qu'il ne peut pas avoir été produit décemment. N'est-on pas u peu complice alors ?No Logo est malheureusement quelque peu "défiguré" par une traduction exécrable, empruntée semble-t-il à l'édition canadienne. Quelqu'un peut-il dire à l'éditeur que les Québécois et les Franais ne partagent pas tout à fait le mme franais ce qui donne l'impression de lire Klein avec quelques québecquismes malvenus (l'inverse serait tout aussi vrai si nos cousins de la Belle Province lisaient un livre bourré de gallicismes).
Le Tiers-monde a toujours existé pour le confort du Premier .
Dans ce livre, Naomi Klein met le doigt sur un changement crucial dans l'histoire industrielle du monde occidental. Ce changement explique clairement pourquoi le taux de chmage y reste si élevé et pourquoi il n'y a pas d'amélioration à l'horizon: les sociétés transnationales privées ne sont plus intéressées par la production, mais uniquement par des images de marque. Les produits réels sont fabriqués dans des usines, les marques dans la tte. Des marques créent des grosses marges, la fabrication des maigres revenus.Désindustrialisation dans le Premier mondeCette nouvelle stratégie a provoqué des licenciements à grande échelle dans le Premier monde et créé des zones franches dans le Tiers Monde.De plus, les sociétés se sont transformés en `moteurs de croissance pour la richesse de leurs actionnaires', au lieu d'tre des `moteurs de croissance de l'emploi'. Dernièrement, les chefs des 30 entreprises qui ont le plus licencié, ont vu leurs rémunérations globales augmenter de 67%. Les emplois indispensables sont sous-traités ou devenus des emplois précaires et / ou temporaires. La concurrence féroce entre les pays du Tiers-monde fait baisser les prix de production, mais crée des marges colossales dans les pays du Premier monde. Les salaires dans les zones franches d'exportation sont si faibles que les travailleurs ne peuvent mme pas acheter des biens de consommation qu'ils produisent.Des fusions constantes ont augmenté la taille des sociétés de marque, ce qui leur permet de décider quels articles doivent tre exposés dans les magasins; en d'autres termes, ils créent un nouveau type de censure.Bien que l'analyse de Naomi Klein est cruciale et très révélatrice, les remèdes qu'elle propose sont plutt innocents, épidermiques ou trop générales (p.ex. des manifestations de masse ou des boycotts). Notre monde a besoin d'une vision plus ciblée, que nous pouvons trouver dans les aeuvres de Joseph Stiglitz ou (pour une vue venant du Sud) de Walden Bello.Lecture obligatoire pour tous ceux qui veulent comprendre le monde dans lequel nous vivons.
Dans ce livre, Naomi Klein met le doigt sur un changement crucial dans l'histoire industrielle du monde occidental. Ce changement explique clairement pourquoi le taux de chmage y reste si élevé et pourquoi il n'y a pas d'amélioration à l'horizon: les sociétés transnationales privées ne sont plus intéressées par la production, mais uniquement par des images de marque. Les produits réels sont fabriqués dans des usines, les marques dans la tte. Des marques créent des grosses marges, la fabrication des maigres revenus.Désindustrialisation dans le Premier mondeCette nouvelle stratégie a provoqué des licenciements à grande échelle dans le Premier monde et créé des zones franches dans le Tiers Monde.De plus, les sociétés se sont transformés en `moteurs de croissance pour la richesse de leurs actionnaires', au lieu d'tre des `moteurs de croissance de l'emploi'. Dernièrement, les chefs des 30 entreprises qui ont le plus licencié, ont vu leurs rémunérations globales augmenter de 67%. Les emplois indispensables sont sous-traités ou devenus des emplois précaires et / ou temporaires. La concurrence féroce entre les pays du Tiers-monde fait baisser les prix de production, mais crée des marges colossales dans les pays du Premier monde. Les salaires dans les zones franches d'exportation sont si faibles que les travailleurs ne peuvent mme pas acheter des biens de consommation qu'ils produisent.Des fusions constantes ont augmenté la taille des sociétés de marque, ce qui leur permet de décider quels articles doivent tre exposés dans les magasins; en d'autres termes, ils créent un nouveau type de censure.Bien que l'analyse de Naomi Klein est cruciale et très révélatrice, les remèdes qu'elle propose sont plutt innocents, épidermiques ou trop générales (p.ex. des manifestations de masse ou des boycotts). Notre monde a besoin d'une vision plus ciblée, que nous pouvons trouver dans les aeuvres de Joseph Stiglitz ou (pour une vue venant du Sud) de Walden Bello.Lecture obligatoire pour tous ceux qui veulent comprendre le monde dans lequel nous vivons.
NO LOGO NO BOULOT !!!! .
Ce livre de la très médiatisée journaliste indépendante canadienne est bien documenté et ce qu'il raconte est vérifiable au quotidien.Une accumulation d'exemples censés nous faire prendre conscience des maux qui nous cernent de toutes parts. Mais rien de plus (et c'est ce qui justifie ma note)car quand il s'agit d'énumérer faits et chiffres qui font froid dans le dos, elle est bien là, mais elle ne propose pas une seule solution! Et son écriture est bien plate, pour ne pas dire ennuyeuse, mais bon, elle a le mérite de pointer du doigt quelques-uns des défauts majeurs de notre société, alors je ne la critique pas trop et je vous recommande quand mme ce bon livre.
Ce livre de la très médiatisée journaliste indépendante canadienne est bien documenté et ce qu'il raconte est vérifiable au quotidien.Une accumulation d'exemples censés nous faire prendre conscience des maux qui nous cernent de toutes parts. Mais rien de plus (et c'est ce qui justifie ma note)car quand il s'agit d'énumérer faits et chiffres qui font froid dans le dos, elle est bien là, mais elle ne propose pas une seule solution! Et son écriture est bien plate, pour ne pas dire ennuyeuse, mais bon, elle a le mérite de pointer du doigt quelques-uns des défauts majeurs de notre société, alors je ne la critique pas trop et je vous recommande quand mme ce bon livre.
Presque un logo .
Ce livre nous montre le passage de l'art à la publicité comme référent culturel mondial... A lire d'urgence et à faire passer.
Ce livre nous montre le passage de l'art à la publicité comme référent culturel mondial... A lire d'urgence et à faire passer.
L'écriture militante .
C'est du Naomi Klein , c'est comme une claque , mais écrit avec du style , ou comment elle arrive a mettre en évidence cette société qui oublie l'tre humain au profit de la consommation de masse .Au passage , je vous conseille un doc' , qu'elle a fait avec son mari , en Argentine sur des ouvriers devenant actionnaires de leurs entreprises abandonnées , c'est "The Take"Pour "La stratégie du choc" , je préfère le livre au Film .
C'est du Naomi Klein , c'est comme une claque , mais écrit avec du style , ou comment elle arrive a mettre en évidence cette société qui oublie l'tre humain au profit de la consommation de masse .Au passage , je vous conseille un doc' , qu'elle a fait avec son mari , en Argentine sur des ouvriers devenant actionnaires de leurs entreprises abandonnées , c'est "The Take"Pour "La stratégie du choc" , je préfère le livre au Film .
excellent .
L'envoi a été parfait, qualité, délai.Le livre est passionnant; c'est une revue critique de l'influence des marques sur notre sociétéen mme temps qu'une chronique du pouvoir de la publicité dans toutes les sphères économiques.Naomi Klein écrit avec du punch et de la personnalité.Sa documentation est phénoménale sans peser sur le lecteur; bien au contraire.Je recommande ce livre à tous.
L'envoi a été parfait, qualité, délai.Le livre est passionnant; c'est une revue critique de l'influence des marques sur notre sociétéen mme temps qu'une chronique du pouvoir de la publicité dans toutes les sphères économiques.Naomi Klein écrit avec du punch et de la personnalité.Sa documentation est phénoménale sans peser sur le lecteur; bien au contraire.Je recommande ce livre à tous.
A lire sans tarder .
Pour bien comprendre dans quel état de servitude des "marques" ont plonge l humanité...comment un tre humain se soumet au diktat du marketing et finit par pleurer un SteveJobs qui n'a pour seul mérite d avoir vole des ides et contribuer a l'esclavagisme en Chine. Lire la suite "la stratégie du choc ou la montée d'un capitalisme du désastre".
Pour bien comprendre dans quel état de servitude des "marques" ont plonge l humanité...comment un tre humain se soumet au diktat du marketing et finit par pleurer un SteveJobs qui n'a pour seul mérite d avoir vole des ides et contribuer a l'esclavagisme en Chine. Lire la suite "la stratégie du choc ou la montée d'un capitalisme du désastre".
super .
un ouvrage de référence que tout bon altermondialiste se doit d'avoir dans sa bibliothèque, passionnant pour tous et très bien écrit.
un ouvrage de référence que tout bon altermondialiste se doit d'avoir dans sa bibliothèque, passionnant pour tous et très bien écrit.
Les envahisseurs ou la société de marque ! .
Elles sont partout. Elles arrivent en pronant la vie éthique et l'esthétisme. Elle vous susurre des mots doux, vous vendent, disent-elles, du rve, mais en fait conquiert votre espace, le cannibalise, jusqu'à ce que vous ne sachiez plus ce qu'était la vie sans elles. C'est de l'éthylisme dans lequel nous plonge l'élite.Elles s'installe et vous font croire à l'augmentation de votre choix quand elles détruisent en fait le choix régional et national. C'est ce qu'on appelle la mondialisation et les économies d'échelle effectuées sur le volume. La quantité n'est pas la qualité. L'économie d'échelle hait le choix.Elles vous disent "je vous aime", "just do it", "express yourself", "another way of life" et nous vivons tous pareillement, disons les mmes choses, croyant nous différencier. C'est le matraquage et ce, dès le plus jeune age.Arrachez donc vos marques de vos t-shirt ! ou faites vous payer pour les porter ! C'est vrai quoi ! On paie pour leur faire de la pub ? La société de l'image nous marque...Ah, au fait, elle font ce qu'on interdit á l'individu de faire : le viol de l'espace privé, la rétention d'information (interdiction de divulger des résultats scientifiques s'ils leurs sont négatifs), mensonge... et tout cela impunément parce qu'elle passe des contrats.Dis mois bové, a quand le prochain mac do, nike et addidas avec ?C'est pis qu'X-file car elles sont là et tellement là que nous ne les voyons plus !
Elles sont partout. Elles arrivent en pronant la vie éthique et l'esthétisme. Elle vous susurre des mots doux, vous vendent, disent-elles, du rve, mais en fait conquiert votre espace, le cannibalise, jusqu'à ce que vous ne sachiez plus ce qu'était la vie sans elles. C'est de l'éthylisme dans lequel nous plonge l'élite.Elles s'installe et vous font croire à l'augmentation de votre choix quand elles détruisent en fait le choix régional et national. C'est ce qu'on appelle la mondialisation et les économies d'échelle effectuées sur le volume. La quantité n'est pas la qualité. L'économie d'échelle hait le choix.Elles vous disent "je vous aime", "just do it", "express yourself", "another way of life" et nous vivons tous pareillement, disons les mmes choses, croyant nous différencier. C'est le matraquage et ce, dès le plus jeune age.Arrachez donc vos marques de vos t-shirt ! ou faites vous payer pour les porter ! C'est vrai quoi ! On paie pour leur faire de la pub ? La société de l'image nous marque...Ah, au fait, elle font ce qu'on interdit á l'individu de faire : le viol de l'espace privé, la rétention d'information (interdiction de divulger des résultats scientifiques s'ils leurs sont négatifs), mensonge... et tout cela impunément parce qu'elle passe des contrats.Dis mois bové, a quand le prochain mac do, nike et addidas avec ?C'est pis qu'X-file car elles sont là et tellement là que nous ne les voyons plus !
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Product Details
EAN : 9782742737802Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : Naomi Klein
Binding : Poche
Manufacturer : Actes Sud
PublicationDate : 2003-03-31
Publisher : Actes Sud
SKU : 549782742737802
Studio : Actes Sud
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