Prix : EUR 8,00
This review is from : L'occidentalisation du monde : Essai sur la signification, la portée et les limites de l'uniformisation planétaire
Superbe! .
Très bon livre,a lire absolument pour tous seux qui sentent que quelque chose n'est pas juste dans cette dictature économique de l'occident,et pour les autres aussi...!
Superbe! .
Très bon livre,a lire absolument pour tous seux qui sentent que quelque chose n'est pas juste dans cette dictature économique de l'occident,et pour les autres aussi...!
L'occidentalisation du monde : Essai sur la signification, la portée et les limites de l'uniformisation planétaire Reviews
très actuel .
une réflexion sur le monde actuel et ses tendances à uniformiser selon les nouveaux conceptes de GLOCALISATION, qui met en cause les soi disant avantages du tout pareil pour touts
très actuel .
une réflexion sur le monde actuel et ses tendances à uniformiser selon les nouveaux conceptes de GLOCALISATION, qui met en cause les soi disant avantages du tout pareil pour touts
L'occidentalisation du monde : Essai sur la signification, la portée et les limites de l'uniformisation planétaire Opinions
Pour se rapeller sur quoi s'appuis notre monde occidentale! .
Se livre nous apprends ou nous rapelle que se monde occidentale sans avoir attendut l'apoger du capitalisme libérale,est près a tout écraser sur son passage pour exister et pérdurer...Livre indisspenssable!
Pour se rapeller sur quoi s'appuis notre monde occidentale! .
Se livre nous apprends ou nous rapelle que se monde occidentale sans avoir attendut l'apoger du capitalisme libérale,est près a tout écraser sur son passage pour exister et pérdurer...Livre indisspenssable!
Cons Review
Stimulant petit ouvrage sans grande rigueur scientifique toutefois .
Ouvrage très dense, trop court sans doute pour proposer une démonstration véritablement rigoureuse, d'où un recours prononcé à l'intuition et à l'anecdote - comme le reconnait l'auteur en conclusion. L'ouvrage est stimulant dans la mesure où il propose une critique radicale du modèle occidental, en propos incisifs et sombres: "Frappées au coeur, les sociétés non occidentales ne peuvent que tourner à vide. La perte de sens qui les touche et les ronge comme un cancer, progressivement, n'est pas une acculturation. Le simple fait que l'Occident est là, présence inéliminable et inassimilable, n'implique pas que l'on intègre ses ressorts et ses secrets. (...)Que lui reste-t-il quand ses dieux sont morts, que ses mythes sont fables, que ses exploits sont impuissants et inutiles ? La société non occidentale ne peut plus que se découvrir dans une nudité insensée, telle que l'Occident l'a décrétée : elle est misérable. Vouée à la mortalité infantile, à une espérance de vie dérisoire, rongée par les parasitoses de toute sorte, elle ne possède que des techniques archaques et ridicules, qui lui donnent un PNB par tte infime. Elle ne voit plus dans ses rites que des protubérances monstrueuses (cannibalisme, sacrifices humains, ...) engendrées par le délire de la misère et de l'obscurantisme."On reconnat immédiatement dans cette description un pathos culturel certain, un misérabilisme sociologique au service d'une bonne cause ("tiers-mondisme"), qui traverse l'ensemble de cette oeuvre, se complaisant notamment dans les rituelles lamentations sur la "culture de masse" issues de l'industrialisation de l'urbanisation contemporaine. Or ce lieu commun était déjà dénoncé par Richard Hoggart, dans "la culture du pauvre", fondateur des "cultural studies", que Serge Latouche ignore superbement. Voici qu'écrit Jean-Claude Passeron en préface de l'ouvrage d'Hoggart:" Etude consacrée comme l'indique son sous-titre à quelques "aspects de la vie des classes populaires", the uses of literacy pourrait sans paradoxe tre lu comme une contributiondétournée à la sociologie des intellectuels, surtout de ceux qui font la profession d'tre sociologues: qu'il analyse l'imagerie de "l'homme ordinaire" chère aux journalistes de la grande presse, les mythes contradictoire et complémentaires de la "vigueur rustique" et de la "douceur féminine" des gens du peuple, où se complaisent romanciers, moralistes et artistes, ou encore le lyrisme, noir ou rose, des variations pathétiques sur la "culture de masse", contrepoint d'une nostalgie pastorale dont bien peu de sociologues sont exempts, Richard Hoggart nous fait entrevoir comment les intellectuels jouent entre eux quand ils jouent avec l'image des classes populaires et pourquoi la condition de ces classes, caractérisée négativement par la dépossession culturelle, constitue un objet symbolique privilégié pour des groupes intellectuels définis à titre divers, par un rapport privilégié à la production et à la vulgarisation de la culture.""On n'en finirait pas d'énumérer les thèmes de sociologie-fiction qui se sont agglutinés jusqu'à constituer aujourd'hui une vulgate des maux et des drames de "la civilisation de masse" et quidoivent le plus clair de leur crédibilité aux fonctions sociales et psychologiques qu'ils assument pour les intellectuels, producteurs et principaux consommateurs de ce genre de littérature. La description, alternativement ou simultanément dénonciatrice et fascinée du "conditionnement", de "l'abrutissement", de "l'investissement" de l'homme-des-masses est assez connue pour qu'il ne soit pas besoin d'insister sur cette orthodoxie littéraire"Pour conclure, citons Anton Tchekhov:"J'ai du sang paysan dans les veines, alors ne me faites pas le coup des "vertus paysannes".
Ouvrage très dense, trop court sans doute pour proposer une démonstration véritablement rigoureuse, d'où un recours prononcé à l'intuition et à l'anecdote - comme le reconnait l'auteur en conclusion. L'ouvrage est stimulant dans la mesure où il propose une critique radicale du modèle occidental, en propos incisifs et sombres: "Frappées au coeur, les sociétés non occidentales ne peuvent que tourner à vide. La perte de sens qui les touche et les ronge comme un cancer, progressivement, n'est pas une acculturation. Le simple fait que l'Occident est là, présence inéliminable et inassimilable, n'implique pas que l'on intègre ses ressorts et ses secrets. (...)Que lui reste-t-il quand ses dieux sont morts, que ses mythes sont fables, que ses exploits sont impuissants et inutiles ? La société non occidentale ne peut plus que se découvrir dans une nudité insensée, telle que l'Occident l'a décrétée : elle est misérable. Vouée à la mortalité infantile, à une espérance de vie dérisoire, rongée par les parasitoses de toute sorte, elle ne possède que des techniques archaques et ridicules, qui lui donnent un PNB par tte infime. Elle ne voit plus dans ses rites que des protubérances monstrueuses (cannibalisme, sacrifices humains, ...) engendrées par le délire de la misère et de l'obscurantisme."On reconnat immédiatement dans cette description un pathos culturel certain, un misérabilisme sociologique au service d'une bonne cause ("tiers-mondisme"), qui traverse l'ensemble de cette oeuvre, se complaisant notamment dans les rituelles lamentations sur la "culture de masse" issues de l'industrialisation de l'urbanisation contemporaine. Or ce lieu commun était déjà dénoncé par Richard Hoggart, dans "la culture du pauvre", fondateur des "cultural studies", que Serge Latouche ignore superbement. Voici qu'écrit Jean-Claude Passeron en préface de l'ouvrage d'Hoggart:" Etude consacrée comme l'indique son sous-titre à quelques "aspects de la vie des classes populaires", the uses of literacy pourrait sans paradoxe tre lu comme une contributiondétournée à la sociologie des intellectuels, surtout de ceux qui font la profession d'tre sociologues: qu'il analyse l'imagerie de "l'homme ordinaire" chère aux journalistes de la grande presse, les mythes contradictoire et complémentaires de la "vigueur rustique" et de la "douceur féminine" des gens du peuple, où se complaisent romanciers, moralistes et artistes, ou encore le lyrisme, noir ou rose, des variations pathétiques sur la "culture de masse", contrepoint d'une nostalgie pastorale dont bien peu de sociologues sont exempts, Richard Hoggart nous fait entrevoir comment les intellectuels jouent entre eux quand ils jouent avec l'image des classes populaires et pourquoi la condition de ces classes, caractérisée négativement par la dépossession culturelle, constitue un objet symbolique privilégié pour des groupes intellectuels définis à titre divers, par un rapport privilégié à la production et à la vulgarisation de la culture.""On n'en finirait pas d'énumérer les thèmes de sociologie-fiction qui se sont agglutinés jusqu'à constituer aujourd'hui une vulgate des maux et des drames de "la civilisation de masse" et quidoivent le plus clair de leur crédibilité aux fonctions sociales et psychologiques qu'ils assument pour les intellectuels, producteurs et principaux consommateurs de ce genre de littérature. La description, alternativement ou simultanément dénonciatrice et fascinée du "conditionnement", de "l'abrutissement", de "l'investissement" de l'homme-des-masses est assez connue pour qu'il ne soit pas besoin d'insister sur cette orthodoxie littéraire"Pour conclure, citons Anton Tchekhov:"J'ai du sang paysan dans les veines, alors ne me faites pas le coup des "vertus paysannes".
Ridicule .
Voilà un livre dont la description n'inspire aucune envie de lecture. Je ne vois pas pourquoi Amazon le met sur ma liste. C'est contraire à tout ce que je pense et à ce que pensent les auteurs que je lis par ailleurs. Tous ceux qui sont privés du modèle occidental ont envie d'y parvenir et d'avoir le droit de choisir leurs dirigeants et de s'exprimer librement. Tout ceux que réduit à la misère le dirigisme et le planisme, car il y en a encore, rvent de libéralisme. Il n'y a que la France, car on y bénéficie du libéralisme et de la démocratie et que l'on adore cracher dans la soupe.
Voilà un livre dont la description n'inspire aucune envie de lecture. Je ne vois pas pourquoi Amazon le met sur ma liste. C'est contraire à tout ce que je pense et à ce que pensent les auteurs que je lis par ailleurs. Tous ceux qui sont privés du modèle occidental ont envie d'y parvenir et d'avoir le droit de choisir leurs dirigeants et de s'exprimer librement. Tout ceux que réduit à la misère le dirigisme et le planisme, car il y en a encore, rvent de libéralisme. Il n'y a que la France, car on y bénéficie du libéralisme et de la démocratie et que l'on adore cracher dans la soupe.
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Product Details
EAN : 9782707145918Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : Serge Latouche
Binding : Poche
Manufacturer : Editions La Découverte
PublicationDate : 2005-04-26
Publisher : Editions La Découverte
SKU : 9782707145918_MESSADP_US
Studio : Editions La Découverte
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