Prix : EUR 20,00
Vice-président de la Banque mondiale, Joseph Stiglitz démissionna avec fracas de son poste en 2000. Auréolé d'un Prix Nobel d'économie reçu en 2001, il fait ici le procès des politiques prônées par le Fonds monétaire international. Pour faire face à la crise financière en Asie, pour faciliter la transition en Russie ou pour sauver des pays lourdement endettés, c'est toujours la même thérapeutique libérale qui est appliquée : privatisations, rigueur budgétaire et ouverture des marchés. Ces "solutions archaïques et inadaptées, sans tenir compte des effets qu'elles auraient sur les habitants des pays", sont imposées sans débat préalable, à partir d'une conception dogmatique de l'économie : la supériorité du marché et de la concurrence.
Avec pédagogie et sur un ton incisif, Stiglitz décrit avec moult anecdotes comment les grands argentiers ont contribué à façonner l'économie mondiale, et dénonce leurs décisions davantage fondées sur les intérêts des pays riches que sur ceux des pays "aidés". S'il ne remet pas en cause pour autant la mondialisation, "potentiellement capable d'enrichir chaque habitant de la planète en particulier les plus pauvres", il réclame une réforme en profondeur du fonctionnement des institutions internationales, pour mettre fin à ce "consensus de Washington" dont l'échec est patent. --Gery Dumoulin
This review is from : La Grande Désillusion
Intelligent lucide pas extrémiste bon quoi! .
C'est à une saine lecture que convie l'économiste Stiglitz. L'homme se base sur ses expériences des organismes économiques pour en relever les faiblesses et, dans une mesure certaine, leur obstination à ne rien vouloir y améliorer. "La Grande Désillusion" est une lecture salutaire et instructive: Stiglitz y présente les défauts du FMI (objet principal de ses critiques) dans les situations où ils ont été manifestes: Russie, Afrique noire, Asie du Sud-Est. Il montre aussi les réussites des nations qui ont su s'écarter du très puissant Fonds. Stiglitz n'a rien d'un antimondialiste obtus, toutefois; lucide dans son analyse, il propose que la mondialisation soit gérée de faon à ce que chacun y trouve son compte. Quel message otpimiste! A lire, d'autant plus que le propos est présenté de faon abordable.
Intelligent lucide pas extrémiste bon quoi! .
C'est à une saine lecture que convie l'économiste Stiglitz. L'homme se base sur ses expériences des organismes économiques pour en relever les faiblesses et, dans une mesure certaine, leur obstination à ne rien vouloir y améliorer. "La Grande Désillusion" est une lecture salutaire et instructive: Stiglitz y présente les défauts du FMI (objet principal de ses critiques) dans les situations où ils ont été manifestes: Russie, Afrique noire, Asie du Sud-Est. Il montre aussi les réussites des nations qui ont su s'écarter du très puissant Fonds. Stiglitz n'a rien d'un antimondialiste obtus, toutefois; lucide dans son analyse, il propose que la mondialisation soit gérée de faon à ce que chacun y trouve son compte. Quel message otpimiste! A lire, d'autant plus que le propos est présenté de faon abordable.
La Grande Désillusion Reviews
Un sérieux coup de revers .
L'auteur est ce qu'on appelle communément un "insider" de la politique économique américaine. Cet illustre professeur d'université a été tour à tour conseiller du gouvernement Clinton et vice-pésident de la Banque Mondiale. Dés le premier chapitre, il s'en prend à la trahison de l'idéal de Keynes penseur des trois grandes insitutions de Bretton Wood (FMI, BIRD, GATT). Loin d'tre au service d'une économie mondiale, elles sont devenues les instruments de la finance internationale. Démontrant tour à tour les responsabilités du FMI dans la crise asiatique et le naufrage de la transition russe, il dresse un tableau effrayant du "consensus de Washington". Le dernier chapitre offre des pistes de réflexion pour de nouvelles stratégies respectueuses de la démocratie et des peuples. Comme il le dit si bien la mondialisation n'est pas mauvaise, mais c'est une certaine idée de la monialisation que nous devons combattre: celle de la toute puissance du marché. Intéressant à plus d'un titre.
Un sérieux coup de revers .
L'auteur est ce qu'on appelle communément un "insider" de la politique économique américaine. Cet illustre professeur d'université a été tour à tour conseiller du gouvernement Clinton et vice-pésident de la Banque Mondiale. Dés le premier chapitre, il s'en prend à la trahison de l'idéal de Keynes penseur des trois grandes insitutions de Bretton Wood (FMI, BIRD, GATT). Loin d'tre au service d'une économie mondiale, elles sont devenues les instruments de la finance internationale. Démontrant tour à tour les responsabilités du FMI dans la crise asiatique et le naufrage de la transition russe, il dresse un tableau effrayant du "consensus de Washington". Le dernier chapitre offre des pistes de réflexion pour de nouvelles stratégies respectueuses de la démocratie et des peuples. Comme il le dit si bien la mondialisation n'est pas mauvaise, mais c'est une certaine idée de la monialisation que nous devons combattre: celle de la toute puissance du marché. Intéressant à plus d'un titre.
La Grande Désillusion Opinions
les derniers sont parfois comme les premiers ! .
Si vous n'avez jamais lu d'ouvrages de Stiglitz alors lisez directement Un autre monde - Contre le fanatisme du marché et/ou Le triomphe de la cupidité, vous aurez une vision plus actuelle de la pensée de l'auteur.Si vous avez lu ces deux derniers ouvrages, La grande Désillusion ne vous apportera rien de plus si ce n'est une autre faon d'aborder le sujet, ou d'insister sur un thème plus que sur un autre.Stiglitz est à lire, mais il recycle un peu trop les mmes discours si bien qu'à le lire on a souvent l'impression de le relire. Mais il reste bien entendu un auteur important.3 étoiles seulement car j'ai justement commencé par la fin.
les derniers sont parfois comme les premiers ! .
Si vous n'avez jamais lu d'ouvrages de Stiglitz alors lisez directement Un autre monde - Contre le fanatisme du marché et/ou Le triomphe de la cupidité, vous aurez une vision plus actuelle de la pensée de l'auteur.Si vous avez lu ces deux derniers ouvrages, La grande Désillusion ne vous apportera rien de plus si ce n'est une autre faon d'aborder le sujet, ou d'insister sur un thème plus que sur un autre.Stiglitz est à lire, mais il recycle un peu trop les mmes discours si bien qu'à le lire on a souvent l'impression de le relire. Mais il reste bien entendu un auteur important.3 étoiles seulement car j'ai justement commencé par la fin.
Une référence .
excellent livre que le dernier ouvrage de J.E. Stiglitz, limpide et virulent à la fois. Sans tomber dans le discours propagandiste et démagogique de certains antimondialistes, stiglitz dresse un tableau noir de la mondialisation actuelle dirigée par le FMI en particulier et propose aussi ( chose rare !) d'autres alternatives à la mondialisation imposée par le consensus de Washington. L'auteur dénonce particulièrment le dogmatisme libéral du FMI et de ses perspectives à court terme.Livre très accessible et très riche.
excellent livre que le dernier ouvrage de J.E. Stiglitz, limpide et virulent à la fois. Sans tomber dans le discours propagandiste et démagogique de certains antimondialistes, stiglitz dresse un tableau noir de la mondialisation actuelle dirigée par le FMI en particulier et propose aussi ( chose rare !) d'autres alternatives à la mondialisation imposée par le consensus de Washington. L'auteur dénonce particulièrment le dogmatisme libéral du FMI et de ses perspectives à court terme.Livre très accessible et très riche.
excellente argumentation .
Un livre très intéressant, très pédagogique, et surtout très bien argumenté. Toutes les opinions s'appuient sur des exemples, et sur les différents points de vue possibles. Le ton est mesuré et le style est bon, bref ca se lit bien. Un très bon livre.
Un livre très intéressant, très pédagogique, et surtout très bien argumenté. Toutes les opinions s'appuient sur des exemples, et sur les différents points de vue possibles. Le ton est mesuré et le style est bon, bref ca se lit bien. Un très bon livre.
une attaque en règle du FMI .
Stiglitz a obtenu le Prix Nobel d'économie en 2001 pour ses travaux sur les marchés avec 'information assymétrique.Avant cela, il a été conseiller économique du président Clinton, puis économiste en chef de la Banque Mondiale jusqu''en 1999. Les raisons de sa démission de ce poste sont exposées dans ce bouquin : il a constaté que "la mondialisation, a ne marche pas."Stiglitz attaque accuse très directement le Fonds Monétaire International (FMI) d'avoir commis des erreurs fondamentales qui ont terriblement amplifié les conséquences des crises récentes. Stiglitz montre que les pays qui n'ont pas suivi les directives du FMI, comme la Chine, la Pologne ou la Malaisie s'en sont bien mieux sortis que ceux qui ont obéi, comme la Russie, l'Indonésie ou la Thalande.Stiglitz prétend que la politique systématiquement restrictive que le FMI impose aux pays en crise est héritée de l'idéologie ultra-libérale de Reagan+Thatcher, alors que le grand économiste Keynes avait démontré qu''il fallait au contraire une politique expansionniste, et que le FMI et la Banque Mondiale avaient à l'origine été crées pour soutenir cette approche, qui avait notamment été couronnée de succès avec le 'Plan Marshall'Le livre de Stiglitz est en fait une attaque en règle du FMI, qui tient mme du rglement de comptes car la Banque Mondiale est relativement épargnée.Le livre est très (trop) épais et dense, avec pas mal de répétitions : Stiglitz n''est pas un écrivain. Si la lecture se révèle indigeste, ne lisez que les chapitres 1,2,5 et 9 : 1. La promesse des institutions internationales 2. Promesses non tenues 3. Liberté de choisir ? 4. La crise asiatique 5. Qui a perdu la Russie ? 6. Les "injustes lois du juste commerce'" 7. De meilleures voies vers le marché 8. L'autre programme du FMI 9. L'avenir
Stiglitz a obtenu le Prix Nobel d'économie en 2001 pour ses travaux sur les marchés avec 'information assymétrique.Avant cela, il a été conseiller économique du président Clinton, puis économiste en chef de la Banque Mondiale jusqu''en 1999. Les raisons de sa démission de ce poste sont exposées dans ce bouquin : il a constaté que "la mondialisation, a ne marche pas."Stiglitz attaque accuse très directement le Fonds Monétaire International (FMI) d'avoir commis des erreurs fondamentales qui ont terriblement amplifié les conséquences des crises récentes. Stiglitz montre que les pays qui n'ont pas suivi les directives du FMI, comme la Chine, la Pologne ou la Malaisie s'en sont bien mieux sortis que ceux qui ont obéi, comme la Russie, l'Indonésie ou la Thalande.Stiglitz prétend que la politique systématiquement restrictive que le FMI impose aux pays en crise est héritée de l'idéologie ultra-libérale de Reagan+Thatcher, alors que le grand économiste Keynes avait démontré qu''il fallait au contraire une politique expansionniste, et que le FMI et la Banque Mondiale avaient à l'origine été crées pour soutenir cette approche, qui avait notamment été couronnée de succès avec le 'Plan Marshall'Le livre de Stiglitz est en fait une attaque en règle du FMI, qui tient mme du rglement de comptes car la Banque Mondiale est relativement épargnée.Le livre est très (trop) épais et dense, avec pas mal de répétitions : Stiglitz n''est pas un écrivain. Si la lecture se révèle indigeste, ne lisez que les chapitres 1,2,5 et 9 : 1. La promesse des institutions internationales 2. Promesses non tenues 3. Liberté de choisir ? 4. La crise asiatique 5. Qui a perdu la Russie ? 6. Les "injustes lois du juste commerce'" 7. De meilleures voies vers le marché 8. L'autre programme du FMI 9. L'avenir
Il faut de la démocratie pas de l'hypocrisie .
Comme Joseph Stiglitz l'explique dans ce livre avec une remarquable franchise, la mondialisation (la suppression des obstacles au libre-échange et l'intégration des économies nationales dans le commerce mondial) devrait, en théorie, tre bénéfique pour tout le monde. Mais, la faon dont cette affaire a été implémentée, par l'intermédiaire d'accords commerciaux internationaux et de politiques économiques dogmatiques, n'a généré que des désastres. Les principaux coupables de cette catastrophe ont été les institutions économiques, financières et commerciales internationales: le FMI, la Banque Mondiale et l'OMC.Le FMIJoseph Stiglitz attaque dans ce livre sans relche le FMI, l'accusant mme de trafiquer ses propres chiffres pour pouvoir démontrer que ses programmes fonctionnent. Le FMI a échoué dans sa mission fondamentale de promouvoir la stabilité économique mondiale et n'a servi que des intérts particuliers de financiers.L'auteur stigmatise le FMI d'tre complètement incompétent et ses politiques d'tre un mélange d'idéologie et de mauvaise gestion économique. Avec sa mentalité coloniale et son insensibilité sociale, il a forcé son dogme fondamentaliste catastrophique du marché libre sur ses Etats clients: austérité budgétaire, privatisation et libéralisation trop rapide des marchés, avant mme qu'un système minimal de sécurité sociale, des concurrences adéquates ou un cadre réglementaire aient été mis en place. Ses politiques ont été probablement la cause la plus importante de récessions dans de nombreux pays!Politiquement parlant, le FMI n'est pas démocratique. Ses actions affectent la vie de milliards de gens à travers le monde, mais ces voix ne sont pas entendues. Par contre, les banquiers qui insistent sur le remboursement de leurs dettes, y sont très bien représentés par leurs ministres des Finances et leurs gouverneurs des banques centrales.Joseph Stiglitz insiste sur des changements dans la gouvernance du FMI par une modification des droits de vote. À court terme, il demande une transparence complète et, pour chaque intervention, un rapport sur l'impact en matière de niveau de vie et de chmage afin de forcer le FMI à tre plus sensible aux problèmes sociaux et environnementaux.Banque MondialeJ. Stiglitz souligne à juste titre que le développement économique engendre une transformation dans la société, mais cela devrait tre dans le bon sens: améliorer la vie des pauvres, permettre à tout le monde d'avoir une chance de réussir et d'avoir accès aux soins de santé et à une bonne éducation.Mais, pour la Banque Mondiale, des intérts commerciaux et financiers sont beaucoup plus importants que des préoccupations pour l'environnement, la démocratie, les droits de l'homme ou une justice sociale: des milliards de dollars ont été utilisés pour renflouer les banques, alors que des moyens dérisoires ont été mis à la disposition des pays pour aider tous ceux qui ont perdu leur emploi.OMCL'hypocrisie de l'Occident est tout à fait flagrante dans les négociations de l'OMC. Les pays occidentaux ont poussé les pays pauvres à éliminer les barrières commerciales, mais ont gardé leurs propres barrières, qui empchent les pays en voie de développement d'exporter leurs produits agricoles. En plus, ils se sont assurés qu'ils continueront à retenir une part disproportionnée des avantages de la libéralisation des échanges, avec comme résultat final que certains des pays les plus pauvres sont devenus encore plus pauvres!Par exemple, les accords sur les droits de propriété intellectuelle ont eu comme conséquence que certains médicaments ne sont plus disponibles dans les pays pauvres à des prix abordables: des milliers de gens sont effectivement condamnés à mort.Pour Joseph Stiglitz, il faut des institutions pour gouverner et mettre de l'ordre dans les affaires du monde. Il propose que les institutions actuelles retournent à leurs responsabilités premières: l'ONU pour la sécurité politique mondiale, le FMI pour la stabilité économique mondiale et la Banque Mondiale pour un développement économique plus `humain'.Ce livre écrit par un esprit superbement libre est une lecture obligatoire pour tous ceux qui s'intéressent au monde dans lequel nous vivons.
Comme Joseph Stiglitz l'explique dans ce livre avec une remarquable franchise, la mondialisation (la suppression des obstacles au libre-échange et l'intégration des économies nationales dans le commerce mondial) devrait, en théorie, tre bénéfique pour tout le monde. Mais, la faon dont cette affaire a été implémentée, par l'intermédiaire d'accords commerciaux internationaux et de politiques économiques dogmatiques, n'a généré que des désastres. Les principaux coupables de cette catastrophe ont été les institutions économiques, financières et commerciales internationales: le FMI, la Banque Mondiale et l'OMC.Le FMIJoseph Stiglitz attaque dans ce livre sans relche le FMI, l'accusant mme de trafiquer ses propres chiffres pour pouvoir démontrer que ses programmes fonctionnent. Le FMI a échoué dans sa mission fondamentale de promouvoir la stabilité économique mondiale et n'a servi que des intérts particuliers de financiers.L'auteur stigmatise le FMI d'tre complètement incompétent et ses politiques d'tre un mélange d'idéologie et de mauvaise gestion économique. Avec sa mentalité coloniale et son insensibilité sociale, il a forcé son dogme fondamentaliste catastrophique du marché libre sur ses Etats clients: austérité budgétaire, privatisation et libéralisation trop rapide des marchés, avant mme qu'un système minimal de sécurité sociale, des concurrences adéquates ou un cadre réglementaire aient été mis en place. Ses politiques ont été probablement la cause la plus importante de récessions dans de nombreux pays!Politiquement parlant, le FMI n'est pas démocratique. Ses actions affectent la vie de milliards de gens à travers le monde, mais ces voix ne sont pas entendues. Par contre, les banquiers qui insistent sur le remboursement de leurs dettes, y sont très bien représentés par leurs ministres des Finances et leurs gouverneurs des banques centrales.Joseph Stiglitz insiste sur des changements dans la gouvernance du FMI par une modification des droits de vote. À court terme, il demande une transparence complète et, pour chaque intervention, un rapport sur l'impact en matière de niveau de vie et de chmage afin de forcer le FMI à tre plus sensible aux problèmes sociaux et environnementaux.Banque MondialeJ. Stiglitz souligne à juste titre que le développement économique engendre une transformation dans la société, mais cela devrait tre dans le bon sens: améliorer la vie des pauvres, permettre à tout le monde d'avoir une chance de réussir et d'avoir accès aux soins de santé et à une bonne éducation.Mais, pour la Banque Mondiale, des intérts commerciaux et financiers sont beaucoup plus importants que des préoccupations pour l'environnement, la démocratie, les droits de l'homme ou une justice sociale: des milliards de dollars ont été utilisés pour renflouer les banques, alors que des moyens dérisoires ont été mis à la disposition des pays pour aider tous ceux qui ont perdu leur emploi.OMCL'hypocrisie de l'Occident est tout à fait flagrante dans les négociations de l'OMC. Les pays occidentaux ont poussé les pays pauvres à éliminer les barrières commerciales, mais ont gardé leurs propres barrières, qui empchent les pays en voie de développement d'exporter leurs produits agricoles. En plus, ils se sont assurés qu'ils continueront à retenir une part disproportionnée des avantages de la libéralisation des échanges, avec comme résultat final que certains des pays les plus pauvres sont devenus encore plus pauvres!Par exemple, les accords sur les droits de propriété intellectuelle ont eu comme conséquence que certains médicaments ne sont plus disponibles dans les pays pauvres à des prix abordables: des milliers de gens sont effectivement condamnés à mort.Pour Joseph Stiglitz, il faut des institutions pour gouverner et mettre de l'ordre dans les affaires du monde. Il propose que les institutions actuelles retournent à leurs responsabilités premières: l'ONU pour la sécurité politique mondiale, le FMI pour la stabilité économique mondiale et la Banque Mondiale pour un développement économique plus `humain'.Ce livre écrit par un esprit superbement libre est une lecture obligatoire pour tous ceux qui s'intéressent au monde dans lequel nous vivons.
la haute compétence au service de l'humanité .
Cet ouvrage de Joseph E.Stiglizt,"La Grande Désillusion", donne un éclairage percutant et éclairant de l'économie mondiale et des pratiques des Etats et des institutions financières internationales, sans hypocrisie et faux-semblant,avec la rigueur scientifique de l'universitaire hors pair qu'il est et du praticien de l'économie qui sait de quoi il parle.Il suggère aussi des solutions aux grands problèmes écomiques et politiques de notre monde d'aujourd'ui.Joseph E. Stiglizt réconcilie avec le savoir vrai appliqué à la réalité vécue avec le souci constant d'améliorer le sort de l'humanité.Ce livre doit tre le vademecum des unversitaires,des politiques,des fonctionnaires intenationaux,des opérateurs économiques et de toute personne s'intéressant à l'économie.
Cet ouvrage de Joseph E.Stiglizt,"La Grande Désillusion", donne un éclairage percutant et éclairant de l'économie mondiale et des pratiques des Etats et des institutions financières internationales, sans hypocrisie et faux-semblant,avec la rigueur scientifique de l'universitaire hors pair qu'il est et du praticien de l'économie qui sait de quoi il parle.Il suggère aussi des solutions aux grands problèmes écomiques et politiques de notre monde d'aujourd'ui.Joseph E. Stiglizt réconcilie avec le savoir vrai appliqué à la réalité vécue avec le souci constant d'améliorer le sort de l'humanité.Ce livre doit tre le vademecum des unversitaires,des politiques,des fonctionnaires intenationaux,des opérateurs économiques et de toute personne s'intéressant à l'économie.
Stiglitz l'hérétique magnifique .
Un livre qui fait date puisqu'écrit par un ex vice président de la Banque mondiale, alter ego du FMI, cet homme au parcours académique , issu du monde capitaliste a jeté le pavé dans la mare de l'ultra libéralisme, d'une manière "éclatante", une position qui fit des remous à l'époque; il démontre pourquoi le capitalisme ne "marche" pas, un pas de géant vers la démondialisation , idée grandissante de nos jours. A lire par tous , économistes ou pas .
Un livre qui fait date puisqu'écrit par un ex vice président de la Banque mondiale, alter ego du FMI, cet homme au parcours académique , issu du monde capitaliste a jeté le pavé dans la mare de l'ultra libéralisme, d'une manière "éclatante", une position qui fit des remous à l'époque; il démontre pourquoi le capitalisme ne "marche" pas, un pas de géant vers la démondialisation , idée grandissante de nos jours. A lire par tous , économistes ou pas .
economie simplifiée .
très bon livre, tout a fait accessible mme sans tre férue d'économie,et qui permet de bien comprendre les mécanismes apparents et (surtout) cachés des oligarchie qui font "tourner" le monde. Dommage que Mr Stiglitz soit parti, les choses auraient peut tre une chance d'aller mieux dns un avenir plus proche. Reste à espérer que ce livre devienne le livre de chevet des dirigeants, industiels et autres, et pourquoi pas le notre aussi.
très bon livre, tout a fait accessible mme sans tre férue d'économie,et qui permet de bien comprendre les mécanismes apparents et (surtout) cachés des oligarchie qui font "tourner" le monde. Dommage que Mr Stiglitz soit parti, les choses auraient peut tre une chance d'aller mieux dns un avenir plus proche. Reste à espérer que ce livre devienne le livre de chevet des dirigeants, industiels et autres, et pourquoi pas le notre aussi.
Product Details
EAN : 9782213612393Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 10 inches
Width : 6 inches
Author : Joseph E. (Eugene) Stiglitz
Binding : Broché
Edition : traduit de l'anglais (américain) par P Chelma
Manufacturer : Fayard
PublicationDate : 2002-04-16
Publisher : Fayard
SKU : 42002
Studio : Fayard
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