Prix : EUR 18,00
This review is from : Off: Ce que Nicolas Sarkozy n'aurait jamais dû nous dire
Un livre qui fait... pschitt! .
Avec un titre pareil, on s'attend à beaucoup plus. Ici, confirmation du Sarkozy qu'on aperoit aux infos... mais rien de plus.On a vraiment l'impression que ces journalistes qui avaient des relations privilégiées avec le président, en disent le minimum pour vendre un livre avec un titre accrocheur.Ces journalistes dénoncent à demi mots un système ou ils sont completement partie prenante; ils vendent du papier avec les infos que les politiques veulent bien leur donner alors on imagine très bien que surtout il ne faut pas les froisser.
Un livre qui fait... pschitt! .
Avec un titre pareil, on s'attend à beaucoup plus. Ici, confirmation du Sarkozy qu'on aperoit aux infos... mais rien de plus.On a vraiment l'impression que ces journalistes qui avaient des relations privilégiées avec le président, en disent le minimum pour vendre un livre avec un titre accrocheur.Ces journalistes dénoncent à demi mots un système ou ils sont completement partie prenante; ils vendent du papier avec les infos que les politiques veulent bien leur donner alors on imagine très bien que surtout il ne faut pas les froisser.
Off: Ce que Nicolas Sarkozy n'aurait jamais dû nous dire Reviews
Marrant mais pas révolutionnaire .
Dans le milieu de la politique, ce sont tous des ploucs. (...) Mais je suis quasiment une exception., rien que poour cette brillante sortie, la lecture du livre des 2 journalistes de Marianne (que l'on ne peut quand mme pas trop soupsonner de sarkozyte aigue) vaut le coup. Je ne vous cacherai pas qu'une fois le bouquin refermé, on reste un tout petit peu sur sa faim tant, finalement, attirant les médias comme une lampe les insectes un soir d'été, plus grand chose de la vie du premier personnage de l'état ne nous est étranger.On peut d'ailleurs penser que si Maurice Szafran et Nicolas Domenach ont réussi à faire paraitre leur ouvrage aux éditions Fayard, c'est que personne en haut lieu ne s'y est opposé. Que le président traite, en off donc, son prédecesseur de "vieux c*n", celà n'étonnera pas grand monde, il traite bien le plus banal des passants de pauv'c*n sous les yeux des caméras, alors imaginez dans l'intimité...On découvre donc dans ce petit livre ce que l'on savait déja en partie, à savoir un homme de luxe (à défaut de got), agité et impulsif, capable de déclarer tout et son contraire en 2 minutes, fort avec les faibles et faible avec les puissants, immensément préoccupé par sa petite (au sens premier du terme) personne. Bref, le Sarkozy que nous connaissons tous depuis quelques temps.Au détour de quelques réflexions lachées sans retenue, on y découvre aussi un humain comme les autres, (Je suis comme Johnny, je sue comme un boeuf sur scène), déprimé comme tout un chacun au moment où sa femme le quitte, errant en peignoir et babouches (offertes par Kadhafi lors de son petit séjour parisien) dans les jardins de la présidence, rayban vissées sur ses yeux rougis...Un homme (presque) comme les autres...en plus petit.CREW.KOOS
Marrant mais pas révolutionnaire .
Dans le milieu de la politique, ce sont tous des ploucs. (...) Mais je suis quasiment une exception., rien que poour cette brillante sortie, la lecture du livre des 2 journalistes de Marianne (que l'on ne peut quand mme pas trop soupsonner de sarkozyte aigue) vaut le coup. Je ne vous cacherai pas qu'une fois le bouquin refermé, on reste un tout petit peu sur sa faim tant, finalement, attirant les médias comme une lampe les insectes un soir d'été, plus grand chose de la vie du premier personnage de l'état ne nous est étranger.On peut d'ailleurs penser que si Maurice Szafran et Nicolas Domenach ont réussi à faire paraitre leur ouvrage aux éditions Fayard, c'est que personne en haut lieu ne s'y est opposé. Que le président traite, en off donc, son prédecesseur de "vieux c*n", celà n'étonnera pas grand monde, il traite bien le plus banal des passants de pauv'c*n sous les yeux des caméras, alors imaginez dans l'intimité...On découvre donc dans ce petit livre ce que l'on savait déja en partie, à savoir un homme de luxe (à défaut de got), agité et impulsif, capable de déclarer tout et son contraire en 2 minutes, fort avec les faibles et faible avec les puissants, immensément préoccupé par sa petite (au sens premier du terme) personne. Bref, le Sarkozy que nous connaissons tous depuis quelques temps.Au détour de quelques réflexions lachées sans retenue, on y découvre aussi un humain comme les autres, (Je suis comme Johnny, je sue comme un boeuf sur scène), déprimé comme tout un chacun au moment où sa femme le quitte, errant en peignoir et babouches (offertes par Kadhafi lors de son petit séjour parisien) dans les jardins de la présidence, rayban vissées sur ses yeux rougis...Un homme (presque) comme les autres...en plus petit.CREW.KOOS
Off: Ce que Nicolas Sarkozy n'aurait jamais dû nous dire Opinions
CE QU'IL DEVRAIT DIRE .
....A propos de l'Afghanistan....Pour le Succès des Armes de la France, nos troupes combattent très durement les talibans (faut-il rappeler aux sourds, muets et aveugles ce que sont les talibans ?).Faut-il rester, s'en aller ? Les gens experts de la Res Militaria savant mieux que moi. Ce que je sais, c'est que 62 soldats sont tombés dans cette guerre.62 ce n'est rien ?Qui connat encore les grandes boucheries de 1914-1918, le summum de violence atteint sur le front russe de 1941 à 1945 ? Admettons, c'est de l'Histoire...Qui s'intéresse au conflit indochinois qui ft des coupes sombres dans l'Armée Franaise professionnelle, les marquant au front de l'Eclair de la Fureur ? aux secousses marquées au fer rouge de la guerre d'Algérie ? Considérons que ce passé colonial gne...mais ce passé colonial pour aussi compliqué qu'il soit est Chair de Notre Histoire. Allons nous retailler notre Passé à l'aune des pratiques de Sorcellerie utilisés par les Matres Destructeurs (Les camps de concentration ou d'extermination n'existent pas...les échecs sont ds aux complots...Eux ou nous....)?Qui sait ce que ft la Conscription, ce Service Militaire qui faisait de nous "des hommes", ce temps suspendu reversé au service de la Patrie. La subtile finesse de ce qui semble tre un temps brut de fonderie de jeunesse, de cigarettes et d'alcool est qu'il instillait, renforait ou installait le sentiment d'Appartenance à la Nation, nous apprenait notre Passé et rattrapait par la peau du cou des gamins qui semblaient dériver. Temps parfois morne mais certainement pas perdu. Ce n'est pas grave...Le lien est dissous. Qu'importe.Nous y sommes : oubli du caractère meurtrier de la guerre, refus de reconnatre dans l'histoire des guerres coloniales un part vivante de notre Etre, dissolution du lien Patrie-Forces Armées le tout sur fond d'amnésie, de crise sociale et de bruit de fond médiatique.Nos Forces Armées, expression militaire de précepte clauzewitsien ("La guerre est la continuation de la Politique d'Etat par d'autres moyens), creuset d'énérgie, de force et d'éxigence, incarnation de la Grandeur de la France, sont donc des "joujoux" entre les mains d'un groupe d'hommes politiques dont la vision élargie du Monde se résume à une agitation ludionesque, des coups médiatiques (cf la très "étonnante" guerre de Libye)et à une envie "d'tre partout" où a chauffe. 62 joujoux de cassés c'est embtant pour le garnement.62 soldats tombés au Combat, en faisant le métier de guerrier....C'est terrible et cela doit tre honoré...Je ne sais pas où se trouve la juste mesure (un appel officiel des noms des morts,un mémorial*, une heure d'explication dans les écoles...?).En tout cas le Silence tue ces 62 patriotes une deuxième fois.Vive la République Une et Indivisible....Vive la France !* Récemment j'ai été visité le Mémorial Canadien de Courseulles sur Mer...A la fin tourne en boucle un film de 13h30 portant le nom de tous ceux qui tombèrent pour que notre vieille (si vieille aujourd'hui) Europe puisse simplement et quotidiennement respirer en paix.P.S. : ce texte a été écrit ce matin. On est désormais à 67 morts.
CE QU'IL DEVRAIT DIRE .
....A propos de l'Afghanistan....Pour le Succès des Armes de la France, nos troupes combattent très durement les talibans (faut-il rappeler aux sourds, muets et aveugles ce que sont les talibans ?).Faut-il rester, s'en aller ? Les gens experts de la Res Militaria savant mieux que moi. Ce que je sais, c'est que 62 soldats sont tombés dans cette guerre.62 ce n'est rien ?Qui connat encore les grandes boucheries de 1914-1918, le summum de violence atteint sur le front russe de 1941 à 1945 ? Admettons, c'est de l'Histoire...Qui s'intéresse au conflit indochinois qui ft des coupes sombres dans l'Armée Franaise professionnelle, les marquant au front de l'Eclair de la Fureur ? aux secousses marquées au fer rouge de la guerre d'Algérie ? Considérons que ce passé colonial gne...mais ce passé colonial pour aussi compliqué qu'il soit est Chair de Notre Histoire. Allons nous retailler notre Passé à l'aune des pratiques de Sorcellerie utilisés par les Matres Destructeurs (Les camps de concentration ou d'extermination n'existent pas...les échecs sont ds aux complots...Eux ou nous....)?Qui sait ce que ft la Conscription, ce Service Militaire qui faisait de nous "des hommes", ce temps suspendu reversé au service de la Patrie. La subtile finesse de ce qui semble tre un temps brut de fonderie de jeunesse, de cigarettes et d'alcool est qu'il instillait, renforait ou installait le sentiment d'Appartenance à la Nation, nous apprenait notre Passé et rattrapait par la peau du cou des gamins qui semblaient dériver. Temps parfois morne mais certainement pas perdu. Ce n'est pas grave...Le lien est dissous. Qu'importe.Nous y sommes : oubli du caractère meurtrier de la guerre, refus de reconnatre dans l'histoire des guerres coloniales un part vivante de notre Etre, dissolution du lien Patrie-Forces Armées le tout sur fond d'amnésie, de crise sociale et de bruit de fond médiatique.Nos Forces Armées, expression militaire de précepte clauzewitsien ("La guerre est la continuation de la Politique d'Etat par d'autres moyens), creuset d'énérgie, de force et d'éxigence, incarnation de la Grandeur de la France, sont donc des "joujoux" entre les mains d'un groupe d'hommes politiques dont la vision élargie du Monde se résume à une agitation ludionesque, des coups médiatiques (cf la très "étonnante" guerre de Libye)et à une envie "d'tre partout" où a chauffe. 62 joujoux de cassés c'est embtant pour le garnement.62 soldats tombés au Combat, en faisant le métier de guerrier....C'est terrible et cela doit tre honoré...Je ne sais pas où se trouve la juste mesure (un appel officiel des noms des morts,un mémorial*, une heure d'explication dans les écoles...?).En tout cas le Silence tue ces 62 patriotes une deuxième fois.Vive la République Une et Indivisible....Vive la France !* Récemment j'ai été visité le Mémorial Canadien de Courseulles sur Mer...A la fin tourne en boucle un film de 13h30 portant le nom de tous ceux qui tombèrent pour que notre vieille (si vieille aujourd'hui) Europe puisse simplement et quotidiennement respirer en paix.P.S. : ce texte a été écrit ce matin. On est désormais à 67 morts.
Intéressant... .
On pense bien le connaitre notre Président, cependant on est toujours surpris par son mode de pensée... Ne boudez pas votre plaisir avec ce livre si agréable à lire. Un grand merci à Maurice Szafran et Nicolas Domenach
On pense bien le connaitre notre Président, cependant on est toujours surpris par son mode de pensée... Ne boudez pas votre plaisir avec ce livre si agréable à lire. Un grand merci à Maurice Szafran et Nicolas Domenach
Ce que Nicolas Sarkozy n'aurait jamais d nous dire .
"Off", dans le jargon journalistique, désigne ces moments où le reporter éteint son magnétophone pour une plus grande complicité, pour permettre des explications ou autres avec son interviewé. Plus généralement il s'agit de tous ces instants de vies partagés, de fait, entre deux personnes, dont on ne trouve trace dans les journaux ou reportages.Alors pourquoi, se demande-t-on, un tel ouvrage, qui semble plutt faire provocation ?Notons d'abord que le sujet n'est pas des plus anodins: Nicolas Sarkozy, président de France, en fin de quinquennat.Et le sous titre explicite: ce qu'il n'aurait jamais d nous dire..."Nous" : il s'agit de deux journalistes-écrivains connus et reconnus dans le monde du journalisme politique, Maurice Szafran, PDG du journal Marianne, et Nicolas Domenach, son acolyte à Marianne et journaliste à l'Edition Spéciale et sur I-télé.Ils nous décrivent un Nicolas Sarkozy rencontré il y a des années, jeune, alors que sa loyauté oscillait entre Jacques Chirac et Edouard Balladur, bravant les erreurs de jugement dignement, s'accrochant toujours à une ambition qui aurait paru à beaucoup démesurée. Nicolas Sarkozy n'a rien de l'énarque ou de l'aristocrate dont la figure est beaucoup plus courante dans la scène politique franaise. Sa jeunesse reste un peu floue, entre bohème et bourgeoisie.Mais il s'agit aussi et surtout du portrait d'un homme d'affect, plus que de raison : qu'il s'agisse d'élans d'affection ou de colère, rien n'est, ou ne semble mesuré. Mais qui est finalement cet homme politique au tempérament exubérant, parlant sèchement, parfois mme vulgairement, mais maniant des discours politiques non moins efficaces?Certains épisodes laissent le lecteur mal à l'aise tant le président semble y tre dévoilé, qu'il s'agisse de sa rupture avec Cécilia, ou de son remariage avec Carla Bruni...Les deux auteurs n'avaient pas en tte de faire un (autre) livre de politique, mais de parler de psychologie, et de ses conséquences (mais là le lecteur est laissé libre de les appréhender sur la gestion d'un pays, les deux auteurs ne faisant pas le pont eux-mmes entre les faits relatés et les conséquences sur le fonctionnement de notre vie politique).Reste que beaucoup des débordements ici relatés demeurent connus des caméras et ont beaucoup tournés sur nos divers écrans (exemple le plus facile, le fameux "casse toi pauv' con" lancé à un agriculteur qui refusait de lui serrer la main).Mais l'on pourra aussi s'interroger sur cette autre question: où, dans notre époque, et plus précisément dans notre monde occidental, se situe encore la délimitation entre le privé et le public?Qu'est-ce que ce "off" devenu publiable, si ce n'est peut tre la rupture de cette digue, qui délimitait ces deux domaines?A une époque où explosent dans les médias les émissions de télé réalité, où les réseaux sociaux sont à leurs sommets (facebook, twiter...), on ne peut que se demander: Nicolas Sarkozy, exception ou symptme? Est-il responsable d'avoir entrané le monde politique dans certaines des dérives de la bulle médiatique de son époque ? On ne manquera pas pourtant de se rappeler que ce sont les président Pompidou et surtout Giscard qui, les premiers, ont fait entrer les caméras dans leur vie privée.Les auteurs croient à l'exception de ce personnage hors normes, dans ses forces comme dans ses faiblesses. On ne saura jamais vraiment ce qui relevait de la matrise ou de la perte de contrle dans ces moments secrets qui constituent la matière de ce livre.Pour conclure, nous emprunterons la réponse du philosophe Emmanuel Kant (Qu'est ce que les Lumières?) sur la distinction entre les libertés de l'homme représentant une fonction et celles de l'individu: si l'usage public de la parole et de l'opinion est bien le chemin des Lumières, son usage dans le cadre d'un fonction étatique doit tre clairement limité pour ne pas nuire à cette mme liberté.Et il y a fort à parier que cette nuance entre "fonction" et individu" ne s'estompe de plus en plus dans les années à venir...Un livre sans détours, qui a le courage de soulever cette question.
"Off", dans le jargon journalistique, désigne ces moments où le reporter éteint son magnétophone pour une plus grande complicité, pour permettre des explications ou autres avec son interviewé. Plus généralement il s'agit de tous ces instants de vies partagés, de fait, entre deux personnes, dont on ne trouve trace dans les journaux ou reportages.Alors pourquoi, se demande-t-on, un tel ouvrage, qui semble plutt faire provocation ?Notons d'abord que le sujet n'est pas des plus anodins: Nicolas Sarkozy, président de France, en fin de quinquennat.Et le sous titre explicite: ce qu'il n'aurait jamais d nous dire..."Nous" : il s'agit de deux journalistes-écrivains connus et reconnus dans le monde du journalisme politique, Maurice Szafran, PDG du journal Marianne, et Nicolas Domenach, son acolyte à Marianne et journaliste à l'Edition Spéciale et sur I-télé.Ils nous décrivent un Nicolas Sarkozy rencontré il y a des années, jeune, alors que sa loyauté oscillait entre Jacques Chirac et Edouard Balladur, bravant les erreurs de jugement dignement, s'accrochant toujours à une ambition qui aurait paru à beaucoup démesurée. Nicolas Sarkozy n'a rien de l'énarque ou de l'aristocrate dont la figure est beaucoup plus courante dans la scène politique franaise. Sa jeunesse reste un peu floue, entre bohème et bourgeoisie.Mais il s'agit aussi et surtout du portrait d'un homme d'affect, plus que de raison : qu'il s'agisse d'élans d'affection ou de colère, rien n'est, ou ne semble mesuré. Mais qui est finalement cet homme politique au tempérament exubérant, parlant sèchement, parfois mme vulgairement, mais maniant des discours politiques non moins efficaces?Certains épisodes laissent le lecteur mal à l'aise tant le président semble y tre dévoilé, qu'il s'agisse de sa rupture avec Cécilia, ou de son remariage avec Carla Bruni...Les deux auteurs n'avaient pas en tte de faire un (autre) livre de politique, mais de parler de psychologie, et de ses conséquences (mais là le lecteur est laissé libre de les appréhender sur la gestion d'un pays, les deux auteurs ne faisant pas le pont eux-mmes entre les faits relatés et les conséquences sur le fonctionnement de notre vie politique).Reste que beaucoup des débordements ici relatés demeurent connus des caméras et ont beaucoup tournés sur nos divers écrans (exemple le plus facile, le fameux "casse toi pauv' con" lancé à un agriculteur qui refusait de lui serrer la main).Mais l'on pourra aussi s'interroger sur cette autre question: où, dans notre époque, et plus précisément dans notre monde occidental, se situe encore la délimitation entre le privé et le public?Qu'est-ce que ce "off" devenu publiable, si ce n'est peut tre la rupture de cette digue, qui délimitait ces deux domaines?A une époque où explosent dans les médias les émissions de télé réalité, où les réseaux sociaux sont à leurs sommets (facebook, twiter...), on ne peut que se demander: Nicolas Sarkozy, exception ou symptme? Est-il responsable d'avoir entrané le monde politique dans certaines des dérives de la bulle médiatique de son époque ? On ne manquera pas pourtant de se rappeler que ce sont les président Pompidou et surtout Giscard qui, les premiers, ont fait entrer les caméras dans leur vie privée.Les auteurs croient à l'exception de ce personnage hors normes, dans ses forces comme dans ses faiblesses. On ne saura jamais vraiment ce qui relevait de la matrise ou de la perte de contrle dans ces moments secrets qui constituent la matière de ce livre.Pour conclure, nous emprunterons la réponse du philosophe Emmanuel Kant (Qu'est ce que les Lumières?) sur la distinction entre les libertés de l'homme représentant une fonction et celles de l'individu: si l'usage public de la parole et de l'opinion est bien le chemin des Lumières, son usage dans le cadre d'un fonction étatique doit tre clairement limité pour ne pas nuire à cette mme liberté.Et il y a fort à parier que cette nuance entre "fonction" et individu" ne s'estompe de plus en plus dans les années à venir...Un livre sans détours, qui a le courage de soulever cette question.
TRÈS BON .
Un livre qui vient enfoncer le clou un peu plus profond...Il vient confirmer l'idée et l'évaluation que je fais de ce triste personnage, d'une vulgarité incroyable...Sarkosy n'est décidément pas un homme d'état digne de ce nom !!!
Un livre qui vient enfoncer le clou un peu plus profond...Il vient confirmer l'idée et l'évaluation que je fais de ce triste personnage, d'une vulgarité incroyable...Sarkosy n'est décidément pas un homme d'état digne de ce nom !!!
Cons Review
Decevant .
DécevantJe regarde régulièrement monsieur Domenach sur canal tous les midis et apprécie ses observations et commentaires.Là, je ne comprends pas pourquoi il a commis ce livre avec son collègue monsieur Szafran. Je ne comprends pas non plus pourquoi ce titre racoleur alors qu'on ne découvre rien que l'on connaisse ou devine déjà.Apprendre que le Président a un petit fils juif par sa mère ou qu'il a embrassé l'un des auteurs, ou encore que monsieur Léotard faisait le marathon, on s'en fout. Il existe des revues spécialisées qui colportent ce genre d'infos.Les nouvelles sont vieillottes et éculées.J'ai l'impression qu'avec ce titre les lecteurs s'attendaient à quelques révélations et ont été abusés.Bouquin ennuyeux que j'avais hte de terminer pour passer à un autre.
DécevantJe regarde régulièrement monsieur Domenach sur canal tous les midis et apprécie ses observations et commentaires.Là, je ne comprends pas pourquoi il a commis ce livre avec son collègue monsieur Szafran. Je ne comprends pas non plus pourquoi ce titre racoleur alors qu'on ne découvre rien que l'on connaisse ou devine déjà.Apprendre que le Président a un petit fils juif par sa mère ou qu'il a embrassé l'un des auteurs, ou encore que monsieur Léotard faisait le marathon, on s'en fout. Il existe des revues spécialisées qui colportent ce genre d'infos.Les nouvelles sont vieillottes et éculées.J'ai l'impression qu'avec ce titre les lecteurs s'attendaient à quelques révélations et ont été abusés.Bouquin ennuyeux que j'avais hte de terminer pour passer à un autre.
Off ... Bof... .
Titre racoleur, contenu décevant, voire éculé pour qui suis un peu l'actu.Les deux journalistes donnent l'impression d'avoir voulu s'amuser à bon compte, quitte à se griller, et avec un timing un peu facile, à étaler leurs pseudo-scoops et le maigre contenu de leurs relations "priviligiées" avec les "hautes sphères" de l'Etat. Piètre image de la société: journaleux et politiques n'en sortent pas grandis... mais est-ce bien étonnant? Quelques Euros à économiser donc.
Titre racoleur, contenu décevant, voire éculé pour qui suis un peu l'actu.Les deux journalistes donnent l'impression d'avoir voulu s'amuser à bon compte, quitte à se griller, et avec un timing un peu facile, à étaler leurs pseudo-scoops et le maigre contenu de leurs relations "priviligiées" avec les "hautes sphères" de l'Etat. Piètre image de la société: journaleux et politiques n'en sortent pas grandis... mais est-ce bien étonnant? Quelques Euros à économiser donc.
décevant .
finalement, on n'apprend pas grand-chose... On sent surtout que ces deux messieurs sont amers. Ce qui ne manque pas d'étonner ! Et personnellement, je n'aime pas le style. Je me pose la question : pourquoi ce livre ? et je ne suis pas Sarkosiste....
finalement, on n'apprend pas grand-chose... On sent surtout que ces deux messieurs sont amers. Ce qui ne manque pas d'étonner ! Et personnellement, je n'aime pas le style. Je me pose la question : pourquoi ce livre ? et je ne suis pas Sarkosiste....
Quand le journalisme politique se perd... .
Off: Ce que Nicolas n'aurait jamais d nous direHorrible ouvrage que celui-là. Des entretiens datant de 2007 ou 2008 au mieux. Pourquoi avoir attendu 4 ans pour les publier? Et surtout, comment se fait-il que ces deux journalistes ne nous communiquent aucune donnée plus récente sur Nicolas Sarkozy? Le livre est une accumulation de petites histoires sordides. Aucune hauteur de vue, aucun recul. Les auteurs narrent par le menu, leur plaisir d'avoir été si proche du futur président, et leur "tout nouveau" désamour pour ce dernier... On n'y apprend rien sur la politique actuelle, rien sur les enjeux politiques ou géopolitiques. On referme cet ouvrage avec une terrible impression: celle d'avoir regardé par le trou de la serrure, d'avoir découvert des petites histoires sans intért (que pour la plupart on connaissait déjà) et finalement d'en tre sorti sali. Sans intért. Off: Ce que Nicolas n'aurait jamais d nous dire
Off: Ce que Nicolas n'aurait jamais d nous direHorrible ouvrage que celui-là. Des entretiens datant de 2007 ou 2008 au mieux. Pourquoi avoir attendu 4 ans pour les publier? Et surtout, comment se fait-il que ces deux journalistes ne nous communiquent aucune donnée plus récente sur Nicolas Sarkozy? Le livre est une accumulation de petites histoires sordides. Aucune hauteur de vue, aucun recul. Les auteurs narrent par le menu, leur plaisir d'avoir été si proche du futur président, et leur "tout nouveau" désamour pour ce dernier... On n'y apprend rien sur la politique actuelle, rien sur les enjeux politiques ou géopolitiques. On referme cet ouvrage avec une terrible impression: celle d'avoir regardé par le trou de la serrure, d'avoir découvert des petites histoires sans intért (que pour la plupart on connaissait déjà) et finalement d'en tre sorti sali. Sans intért. Off: Ce que Nicolas n'aurait jamais d nous dire
Product Details
EAN : 9782213661841Weight : 1 pounds
Height : 2 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Maurice Szafran
Binding : Broché
Manufacturer : Fayard
PublicationDate : 2011-03-09
Publisher : Fayard
SKU : 9782213661841_SOCA_US
Studio : Fayard
Ou acheter
Vous pouvez acheter ce Off: Ce que Nicolas Sarkozy naurait jamais dû nous dire sur amazon . Cliquez ici pour lire plus.