mardi 12 juillet 2011

Votez pour la démondialisation !


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This review is from : Votez pour la démondialisation !
Un autre monde est possible .

On aime, ou pas, Arnaud Montebourg mais force est de constater qu'avec ce " Votez pour la démondialisation ", il redonne enfin espoir à ceux qui n'en peuvent plus de se désoler de voir le PS glisser sans cesse plus vers les idées libérales de la droite. Il redonne enfin un souffle d'air frais à ceux que la victoire annoncée du "socialiste" Strauss Khan rendait malades.Oui Arnaud Montebourg, avec ce livre, fait un grand pas de coté par rapport au discours tout empreint de pensée unique que l'on nous sert depuis plus de 30 ans, terrain propice à un amalgame pas si dénué de fondement que celà et largement sur-exploité par l'extrème droite, celui d'un UMPS blanc bonnet et bonnet blanc.Pour faire simple et aussi synthètique que possible, Arnaud Montebourg nous rappele que le "protectionnisme" est loin d'tre le gros mot que les gens en place se plaisent à hair. La mondialisation, que l'on nous avait vendu comme le moyen le plus sur pour que les ouvriers chinois (ou autre) atteignent le niveau de vie de leurs collégues occidentaux, s'est vite avérée marcher exactement en sens inverse, à savoir un appauvrissement chronique des "travailleurs" mis en concurrence d'un bout à l'autre de la planète, au détriment de la moindre considération écologique possible.Comme le titre d'un documentaire passionnant, le propos de Montebourg pourrait se résumer par "solution locale pour un désastre global", espérons que, pour éseulée qu'elle soit, sa voix porte au delà du désert de pensée qu'est la politique aujourd'hui.CREW.KOOS
Votez pour la démondialisation ! Reviews
se lit d'un trait .

Ce qu'il dit n'est pas une surprise pour celui qui a lu les livres de Todd ou d'autres économistes, mais il a le mérite de vouloir changer le système médiatico-libéral-libre échangiste qui nous mène droit dans le mur
Votez pour la démondialisation ! Opinions
incontournable .

petit livre qui se lit très vite quelle que soit son bord politique et qui par des exemples tout simples illustre de manière admirable le propos de l'auteur. A aucun moment de ma lecture je n ai eu le sentiment d'un constat totalement négatif et pessimiste mais plutt d'un élan vers un autrement possibleExcellent livre que je recommande et qui se lit comme une enqute policière
Enfin un homme politique de gauche a osé ! .

On pouvait désespérer de la gauche qui nous offrait comme seule alternative, depuis trop longtemps, un social-libéralisme, renvoyant de fait le social à la Saint Glinglin, ou un altermondialisme, censé advenir par les citoyens du monde et en réalité lui aussi complètement chimérique. Montebourg est le premier politique de gauche a osé s'affranchir du tabou. Non la mondialisation économique n'est pas l'heureuse perspective que l'on devrait réclamer à cor et à cri. Non ce n'est pas une nécessité qui s'imposerait à nous parce qu'elle serait un ordre naturel (p. 47). Oui, c'est bien le résultat de choix politiques décidés sans considération de ses conséquences (p. 47). Oui, la démondialisation est légitime dès lors qu'elle offrirait les degrés de liberté permettant de réaliser les politiques sociales et environnementales démocratiquement choisies. Après plusieurs intellectuels de gauche (Todd, Sapir, notamment dans son dernier ouvrage La démondialisation), Montebourg a l'intelligence de ne pas faire de la démondialisation ou du protectionnisme l'apanage du FN. Il ne tombe pas dans le piège dans lequel s'est enlisée la gauche depuis bien longtemps, et encore très récemment plusieurs membres du Conseil scientifique d'ATTAC france.attac.org/articles/la-demondialisation-un-concept-superficiel-et-simpliste qui nous disent que non seulement le FN n'apporte pas les bonnes réponses, mais ne pose pas non plus les bonnes questions. Quand auront-ils compris que la définition d'une stratégie de gauche doit se faire indépendamment des questions que pose ou ne pose pas le FN ? À faire de ce parti une espèce d'attracteur de la vie politique, et mme en en vomissant les propositions, ils s'interdisent de réfléchir lucidement aux problèmes et de proposer des solutions pertinentes.Et puis, quand le sage montre la lune, l'idiot ne voit que le doigt. Quand Montebourg montre que l'enjeu essentiel c'est l'avènement d'une République plus forte que le libéralisme économique, d'aucuns pensent qu'on oppose le pays et ses égosmes, au monde et aux valeurs universelles. Ils ne comprennent pas ou feignent de ne pas comprendre que l'instauration ou la préservation de normes environnementales et sociales requièrent ou de la coopération entre États ou des instruments protecteurs (des ajustements tarifaires aux frontières par exemple) rendant possibles de telles normes ; et que si la coopération fait défaut et que l'on se refuse à la protection, il ne reste que les larmes pour pleurer à l'absence des normes tant chéries. Pour que des normes s'appliquent, il faut que des cadres institutionnels préexistent ou soient susceptibles d'exister à un horizon de temps raisonnable. On peut penser que l'idéal serait que ces normes s'appliquent à l'échelle mondiale, et à défaut à l'échelle européenne, mais si tel n'est pas le cas, en quoi serait-ce choquant, et contraire aux valeurs de gauche, qu'elles le soient encore ou le soient déjà à l'échelon d'un pays ? Démondialisation d'ailleurs, n'est probablement pas le bon terme ; c'est plus d'une subsidiarité descendante - certes, cette autre expression n'est pas très folichonne... - que nos sociétés ont besoin : encore une fois, faire si possible les choses à l'échelon de l'humanité dans son ensemble, mais ne pas s'interdire de les faire à des échelons géographiques inférieurs si, pour telle ou telle raison, l'échelon mondial l'interdit. Je note d'ailleurs une contradiction dans l'argumentaire de Montebourg, comme dans celui d'Emmanuel Todd qui prne le protectionnisme depuis longtemps. Pourquoi ce protectionnisme devrait-il tre absolument européen ? Si l'Europe libérale rencle à favoriser une politique sociale ambitieuse, si elle se refuse à mettre en place les écotaxes qui permettraient de lutter contre le changement climatique, si elle continue à tre le lieu de délocalisations sauvages, si elle laisse se pratiquer des stratégies déflationnistes de compétition, on se demande pourquoi le protectionnisme ne devrait pas se déplacer de l'Europe à un pays - la France - ou à un groupe de pays volontaires. Car justement, et peut-tre en dépit d'un apparent paradoxe, le plus important n'est pas le choix d'un espace géographique a priori, mais la recherche des moyens permettant d'assurer la politique démocratiquement choisie et ce, au niveau spatial le plus adapté. Une telle idée, pourtant simple, nous est rappelée opportunément par le livre de Montebourg. Espérons qu'elle aura la diffusion qu'elle mérite au sein des partis de gauche dans les mois qui viennent.
Très bon livre à lire d'urgence ! .

Ce livre nous amène une vérité incontestable: La mondialisation actuelle n'est pas la bonne.Et le titre du livre est très convaincant, Montebourg n'est pas contre la mondialisation, il est pour une démondialisation, soit, pour une autre mondialisation. Celle ci n'est pas VIVABLE, car elle est la mondialisation du marché, soit, celle du non reconnaissance des états-nations vers ceux qui importent, exportent, celle du non respect des citoyens du monde, qui souffrent pour tel entreprise qui veut s'enrichir aveuglément. Il faut une mondialisation qui passe par le prisme de chaque états, qui met en accord humain chaque nations, voilà pourquoi nous ne pouvons laisser les marchés détruire - au nom de l'argent et du plus-argent bien mis en évidence par les spéculations - la reconnaissance, le respect de tous.
Enfin une véritable alternative politique .

Bravo à Arnaud Montebourg, il est l'un des rares à avoir le courage de présenter des idées qui pourraient nous faire sortir de l'ordre 'établi'.D'ailleurs toutes les idées qu'ils proposent sont une évidence pour la plupart d'entre nous seulement les médias sont envahis de commentateurs résignés à la critique facile, à l'esprit formaté hurlant au protectionisme comme si les barrières douanières n'existaient pas. Ils enferment systématiquement le débat dans une équation à une inconnue. La France étant faible, le monde étant animé par la seule et unique recherche du profit, comment pouvons nous tirer notre épingle du jeu, sauver notre peau. Quel pessimisme, quel manque d'ambition.Comme Arnaud Montebourg, je crois que le peuple peut encore décider de son avenir, je crois que la France a encore une voix écoutée dans le monde de part son histoire mais surtout parce qu'elle est la 5e puissance économique et qu'elle est avec l'Allemagne un des moteurs d'une Europe qui peut s'unir face aux difficultés et constituer avec 1600 milliards de PIB la première puissance mondiale. Vu comme a il se pourrait bien que l'on puisse convaincre le monde, a ne sera pas la première fois d'ailleurs.Comme l'auteur je pense qu'une autre mondialisation avec une concurrence socialement et écologiquement juste est possible. Pourquoi la recherche du plus grand profit serait elle la seule faon de faire avancer le monde? L'Homme est capable d'altruisme, l'Homme est fier de créer, le social business existe. Aidons le à se développer. La main invisible est un mythe, allons chercher les milliards que nous avons donné aux marchés financiers via la création monétaire et les niches aux plus aisés pour diminuer le cot du travail et relancer notre croissance par la production et retrouver une balance budgétaire et commerciale équilibrée c'est la seule faon de donner de l'air à nos systèmes de santé et d'éducation.Entre Valls et ses promesses de sang et de larmes, Hollande et ses petits calculs un senior gratuit pour un junior acheté. montebourg est le seul à proposer une véritable alternative qui attaque le problème à la racine.Bref merci à monsieur Montebourg pour son optimisme, son ambition et pour toutes ces idées qui nous permettent enfin de rver. Je retrouve got à la politique en le lisant.
NONO LE DEMONDIALISATEUR .

Après Terminator, Exterminator, Raptor contre Brutor, Demondialisator....Pourquoi pas ? Moi, qui suis souverainiste en diable, l'idée est sympa...Mais qu'est ce que cela recouvre une idée...des actions...donc s'il s'agit de dissoudre l'UE, de fermer la porte au dumping chinois...J'suis d'accord oui mais voilà...le P.S. c'est un parti politique et là c'est moins convaincant....comme le F.N., le Front de Gauche, l'UMP, le PRG, les Rad-soc de droite, les rouge-verts-bruns, l'AF, la SFIO, le PCF, le MRP, le FLSQXRZGARG...etc ...etc ...etc...Bon, on verra quand il fera beau...En attendant votez SP (Super Phacochère)...lui au moins il fait ce qu'il dit et dit ce qu'il fait....
Très bonne critique de la perversité du systéme libre-échangiste .

Arnaud Montebourg m'avait surpris, dans un Parti socialiste largement dominé par les libre-échangistes, les néo-libéraux dont le porte drapeau est Jacques Delors dès 1983 (politique de rigueur, déjà, voici près de 30 ans avec l'échec radical de cette dernière et les misères infligées au peuple), en tenant un discours, rationnel, contre cette idéologie mortifère dans son avant-dernier ouvrage Des idées et des rves. L'auteur, homme politique, député, poursuit sa réflexion par cette synthèse d'une petite centaine de pages sur sa vision de la démondialisation.Comme le remarque Emmanuel Todd dans la préface :"Ce texte est important. Arnaud Montebourg y affronte les vrais problèmes : le libre-échange, qui détruit la vie économique des citoyens et tue la démocratie, le jeu égoste des grandes puissances exportatrices que sont la Chine ou l'Allemagne. Il constate l'impossibilité et l'archasme du socialisme redistributif, l'inutilité et l'inefficacité du socialisme d'ajustement. Il propose, en termes clairs, une solution : le protectionnisme européen avec sa nécessaire dimension écologique. En homme d'Etat, il admet que la solution passe par une négociation ferme et amicale avec l'Allemagne." (p.9)Rappelant avec justesse l'analyse de Jacques Sapir (La démondialisation), l'auteur cite que "les pertes directes et indirectes liées aux délocalisations représenteraient environ 4% de la population active, c'est-à-dire la moitié du chmage actuel." La mondialisation, contrairement au pont aux nes Alain Minc, n'est pas heureuse pour les peuples occidentaux. Pour leurs élites, elle signe leur accroissement insolent de richesses (les 1% et surtout 0,01%) mais l'appauvrissement pour les autres avec le cortège de destruction de protections sociales et de précarité de travail. "Le chantage à la délocalisation et au chmage est devenu un mode de gestion ordinaire des grandes entreprises" (p.30). Parce que la course au moins disant salarial en vue, dans le système de libre-échange, de s'aligner sur les cots des pays en forte croissance (Chine, Inde, Asie) est intenable (rapport de 1 à 40 voire mme 80), la mondialisation nous conduit à la perte. La mondialisation, pensée idéologique, "n'est rien d'autre qu'un système extrémiste" (p.28)L'auteur a raison de promouvoir un système de protection, s'inspirant d'ailleurs - il ne le mentionne pas - de la préférence communautaire, de ce qui se fait à l'étranger (Etats-Unis avec le "Buy American Act" pour les marchés publics) et d'acter une disposition jamais appliquée de l'OMC qui offre la faculté à une économie, soucieuse de l'écologie, de son environnement, de se protéger contre celles qui n'en ont cure (entretien entre Montebourg et Pascal Lamy). Montebourg a raison d'affirmer que la décision ressort du champ politique car les premiers partisans de l'inapplication de cette protection sont nos entreprises multinationales, dites franaises (cf. l'excellente analyse de Antoine Brunet dans La visée hégémonique de la Chine - L'impérialisme économique).Comment promouvoir une solution politique en Europe ? Il faut pouvoir s'entendre fermement avec l'Allemagne, une Allemagne devenue profondément égoste, qui doit changer d'attitude pour le bien de l'Europe et le sien en particulier.Arnaud Montebourg analyse avec force l'égosme allemand, qui par la glaciation des salaires fait cavalier seul en Europe ;- "de 1998 à 2010, le pouvoir d'achat de chaque salarié allemand a baissé de 1% tandis qu'il augmentait de 18% en France - c'est-à-dire s'il est insuffisant chez nos voisins, tant le compte n'y est pas dans notre pays !" (p.74)- "Faut-il rappeler que la zone euro permet à l'Allemagne de réaliser environ 43% du produit de ses exportations, l'Union européenne 62% et l'Europe au sens large 75% ? Paradoxe, au lieu d'aider au développement de notre marché intérieur, au lieu d'aider à la répartition de la richesse en faveur des salariés européens et non des actionnaires, l'Allemagne se complat dans une politique égoste qui ne tient aucun compte des intérts de ses voisins et partenaires" (p.78)La tche est ardue.Cet ouvrage est à lire et diffuser massivement malgré quelques imperfections et une erreur que je développe ci-après ; erreur majeure qui affaiblit la dimension politique de l'ouvrage.** Je reprends Arnaud Montebourg sur le survol, faux pour le coup, de la germanophobie franaise attribuée, par quel effet magique, à Jacques Bainville !!! Bainvillien, je ne puis que rire de cette énormité. Bainville, très grand historien franais, libéral, royaliste (1879-1936), a été marqué, comme toute sa génération, par l'antagonisme violent existant entre la France et la Prusse devenue Allemagne par la défaite de 1871. En un siècle, la France avait connu 3 occupations terribles des troupes allemandes : 1815 après la défaite de Waterloo (occupation + indemnités), 1871 (la perte de l'Alsace et de la Lorraine + indemnités) et 1914-1918 (un tiers de notre territoire ravagé et indemnités acceptées par l'Allemagne, jamais payées à la France). Bainville, en connaisseur de l'Histoire, du mouvement de ses peuples, comprit très tt, dès 1920, - seul hélas - que le Traité de Versailles conduisait immanquablement à la venue rapide de la seconde guerre mondiale (lire Les conséquences politiques de la paix. Il importait alors de se méfier du nationalisme germanique, de sa résurgence qui fut également combattue par Georges Clémenceau (Grandeurs et misères d'une victoire); sentiment et analyse peu partagés au regard du défaitisme de l'entre deux guerres (Aristide Briand notamment) et des pacifismes de gauche qui occupaient le terrain et ont laissé libre cours à l'expansion géographique et de puissance du chancelier Adolf Hitler.Ecrire que la germanophobie proviendrait de Bainville, que très peu ont lu - à commencer, manifestement par Montebourg lui-mme - affaiblit la portée politique de l'essai. Cela participe d'une méconnaissance historique à réparer (lire dans cette veine l'ouvrage de Simon Epstein Un paradoxe franais : Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance qui remet quelques pendules de gauche, essentiellement radical de gauche et SFIO / PS à l'heure pas glorieuse de leurs engagements majoritaires, au niveau des élites, dans la collaboration avec les nazis.Curieusement aussi, le PS ignore ceux de ses membres, héros de la France, qui ont défendu au péril de leur vie, la Liberté, l'Honneur, la France tels que Pierre Brossolette, Daniel Mayer et Gaston Deferre (pour n'en citer que trois). Encore plus bizarrement, le PS oublie que les socialistes résistants furent des promoteurs actifs du Conseil National de la Résistance (C.N.R.) via les C.A.S - Comités d'Action Socialiste - zones Nord et Sud- (cf. l'excellente biographie écrite par Jean-Pierre Azéma Jean Moulin : Le politique, le rebelle, le résistant). Je rappelle que nous devons au C.N.R. la Sécurité Sociale et les retraites dont la mise à mort est programmée chez nos "élites" politiques.Gageons que l'auteur sera prévenu et réparera ses lacunes rapidement afin de le conforter dans son action politique salutaire.
Le retour du politique .

Le groupe "économicopolitique" dirigeant nous explique généralement qu'il n'y a pas d'alternatives à "cette" mondialisation : mondialisation qui délocalise, qui précarise, qui uniformise le monde, qui marchandise tout (art, culture, mode de vie ...), qui détruit la planète. Que cette "dégringolade" générale aussi bien au niveau environnemental, social que culturel, est le seul avenir possible et que nous y somme donc condamné. Que la seule chose à faire est d'avaler cette pilule amère et de se dire qu'elle n'est pas si amère que cela, voir mme qu'elle est plutt bonne. Bonne elle l'est d'ailleurs sans doute pour certains, mais qui et combien ?Arnaud Montebourg, pose ici les problèmes dus à la mondialisation d'une faon claire. Notamment : 1) la mise en concurrence entre d'une part des salariés dont les droits sont l'aboutissement de 200 ans de luttes et d'autre part les salariés de pays émergents ; 2) ce n'est pas écologique de faire fabriquer à l'autre bout du monde ce qui nous consommons. Et il propose une solution qui est peut tre quelque peu audacieuse (audacieuse peut tre surtout dans ce que cette solution sort de la "pensée unique" de nos "élites"), mais qui me parat raisonnable et logique.C'est donc une nouvelle vision de la gauche qui est ici proposée. Une gauche qui ne se contente pas de panser les méfaits de la mondialisation, mais qui prend les problèmes à la source. Donc une gauche qui a une autre perspective que le blairisme.
UN PETIT BIJOU .

Une petite merveille de 90 pages décrivant (sans le souverainisme du FN les méfaits de la mondialisation (illustrés par le malheur des petites gens du monde entier).Permet de comprendre que le mot "Protectionnisme" n'est ni obscène ni égoste, il s'impose comme antithèse de "libre échange", ce dernier concept étant le cache sexe d'ultra libéralisme. A ce jour, le SEUL candidat de gauche pour 2012.Lire également "Des idées et des rves" (le vrai programme PS pour 2022 ou, espérons quand-mme, pour 2017.)Des idées et des rves


Product Details

EAN : 9782081268838
Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : Arnaud Montebourg
Binding : Broché
Manufacturer : Flammarion
PublicationDate : 2011-05-25
Publisher : Flammarion
SKU : 2081268833
Studio : Flammarion

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