Prix : EUR 18,00
This review is from : Des lions menés par des ânes : Essai sur le crash économique (à venir mais très évitable) de l'Euroland en général et de la France en particulier
Drle et instructif .
Savez-vous à quoi sert une banque centrale ? Quelle est la différence entre un rentier et un entrepreneur ? Pourquoi une inflation négative (déflation) est une catastrophe ? Pourquoi le Japon se casse la figure ?Avant d'ouvrir ce livre, je n'en avais pas la moindre idée. Désormais, tout est clair comme de l'eau de roche - limpide.Les livres d'économie n'ont pas la réputation d'tre amusant, de la mme faon que les comptables sont rarement dépeints comme des boute-en-train. C'est peut-tre la raison pour laquelle je ne lis pas beaucoup ce genre de livre. Mais celui-ci est définitivement une exception - Jamais je n'ai autant ri en apprenant les mécanismes désespérément SIMPLES qui régissent l'économie.Quoi, comment, SIMPLES ? Un peu mon neveu ! Après la lecture de cet opuscule agréable, bourré de graphiques et de citations, vous n'en douterez plus.Faites le pas et rejoignez le club très très fermé des gens qui savent de quoi ils parlent !!!
Drle et instructif .
Savez-vous à quoi sert une banque centrale ? Quelle est la différence entre un rentier et un entrepreneur ? Pourquoi une inflation négative (déflation) est une catastrophe ? Pourquoi le Japon se casse la figure ?Avant d'ouvrir ce livre, je n'en avais pas la moindre idée. Désormais, tout est clair comme de l'eau de roche - limpide.Les livres d'économie n'ont pas la réputation d'tre amusant, de la mme faon que les comptables sont rarement dépeints comme des boute-en-train. C'est peut-tre la raison pour laquelle je ne lis pas beaucoup ce genre de livre. Mais celui-ci est définitivement une exception - Jamais je n'ai autant ri en apprenant les mécanismes désespérément SIMPLES qui régissent l'économie.Quoi, comment, SIMPLES ? Un peu mon neveu ! Après la lecture de cet opuscule agréable, bourré de graphiques et de citations, vous n'en douterez plus.Faites le pas et rejoignez le club très très fermé des gens qui savent de quoi ils parlent !!!
Des lions menés par des ânes : Essai sur le crash économique (à venir mais très évitable) de l'Euroland en général et de la France en particulier Reviews
Tout sur l'économie avec humour.... .
Avec humour... au début ;-) Excellent travail d'analyse de l'économie actuelle. Et l'explication du futur inquiétant qui nous attend en Europe si on ne se réveille pas en chassant les technocrates incompétents qui nous gouvernent...
Tout sur l'économie avec humour.... .
Avec humour... au début ;-) Excellent travail d'analyse de l'économie actuelle. Et l'explication du futur inquiétant qui nous attend en Europe si on ne se réveille pas en chassant les technocrates incompétents qui nous gouvernent...
Des lions menés par des ânes : Essai sur le crash économique (à venir mais très évitable) de l'Euroland en général et de la France en particulier Opinions
Il a raison hélas ! .
Summum de l'art, rendre (très) facile à comprendre ce qui est ardu. Je suis persuadé depuis dix ans que le chmage de la France résulte de ses choix collectifs : la preuve en est apporté avec une clarté et une rigueur (sans parler de l'humour ce qui ne gte rien) qui ont peu d'équivalents. Je sentais qu'on allait du mauvais cté mais maintenant je sais que a ne va pas pouvoir durer longtemps. Merci à l'auteur d'avoir pris la peine d'écrire ce livre.
Il a raison hélas ! .
Summum de l'art, rendre (très) facile à comprendre ce qui est ardu. Je suis persuadé depuis dix ans que le chmage de la France résulte de ses choix collectifs : la preuve en est apporté avec une clarté et une rigueur (sans parler de l'humour ce qui ne gte rien) qui ont peu d'équivalents. Je sentais qu'on allait du mauvais cté mais maintenant je sais que a ne va pas pouvoir durer longtemps. Merci à l'auteur d'avoir pris la peine d'écrire ce livre.
Une prise de conscience .
Le voilà, le livre tant attendu qui démontre, preuves à l'appui, ce que beaucoup pensent. Le style un peu télégraphique rend l'ouvrage d'autant plus facile à lire. Un must pour tout politicien et une démonstration implaccable que le libéralisme reste la meilleure faon de garantir la prospérité d'un pays.
Le voilà, le livre tant attendu qui démontre, preuves à l'appui, ce que beaucoup pensent. Le style un peu télégraphique rend l'ouvrage d'autant plus facile à lire. Un must pour tout politicien et une démonstration implaccable que le libéralisme reste la meilleure faon de garantir la prospérité d'un pays.
Excellent livre .
Ce livre démythifie l'euro et ses supposés avantages.Il est aussi prémonitoire en prédisant, en 2003, la fin de l'euro.Bonne lecture
Ce livre démythifie l'euro et ses supposés avantages.Il est aussi prémonitoire en prédisant, en 2003, la fin de l'euro.Bonne lecture
Un bon résumé .
Ce livre résume de manière simple et avec humour ce qu'on sait aujourd'hui des causes de la différence de croissance et de chomage entre, d'un coté la Grande-Bretagne et les USA, et de l'autre, la France et l'Allemagne.L'auteur ne cache pas son libéralisme. Et alors ? Si c'est ce qui marche ?
Ce livre résume de manière simple et avec humour ce qu'on sait aujourd'hui des causes de la différence de croissance et de chomage entre, d'un coté la Grande-Bretagne et les USA, et de l'autre, la France et l'Allemagne.L'auteur ne cache pas son libéralisme. Et alors ? Si c'est ce qui marche ?
Cons Review
Un panégyrique du libéralisme et de la finance .
Ce livre est partisan, mais, en soi, on ne peut pas le lui reprocher. Par contre, l'analyse est loin d'tre objective et là, la critique est nécessaire. On apprend en logique formelle que dans une implication, si la prémisse est fausse alors peu importe la conclusion. C'est exactement ce qui se passe. L'auteur nous assène que seuls les entrepreneurs créent de la richesse. Cela n'est absolument pas vrai. L'état, qu'il vilipende, est aussi un créateur de richesse au mme titre. D'ailleurs, connaissez-vous un pays prospère dans lequel l'état est faible? Par ailleurs, l'analyse des graphiques, nombreux, est un peu courte. En effet, la mise en place massive des marchés des produits dérivés à partir de 1987 n'a pas permis de voir encore toute l'étendue des dégts que cela a créé. L'auteur, d'ailleurs, dans son analyse, ne fait aucune allusion à la masse des sommes investies en produits dérivés (800000 milliards de dollars selon certains) par rapport au PIB mondial (43000 milliards de dollars). Ce rapport, non cité, n'a pas l'air de seulement l'interpeler alors que ce n'est rien qu'un somme énorme de paris sur la vraie richesse produite. De mme, l'auteur ne fait aucune allusion à la corruption dont on estime qu'elle intervient au moins pour 1/3 dans la croissance mondiale. Pour lui, les courbes représentent la vraie économie. Bien entendu, il n'a pas vu ou pu prévenir la crise des subprimes dans ce pays très libéral que sont les USA, et si ces mmes subprimes ruinent les retraités américains, canadiens, britanniques et hollandais dans les années à venir, gageons qu'il ne commettra pas un nouveau livre pour reconnatre ses erreurs. Pour finir, sans le dire explicitement, l'auteur accrédite l'idée que la somme des intérts individuels est égale à l'intért général. Que Nenny! Comme le disait La Fontaine, la loi du plus fort est toujours la meilleure et la démocratie est une sorte de forme de protection contre la loi du plus fort. Le problème actuel de notre société c'est que les plus forts ont pris du poil de la bte au détriment de la masse démocratique des plus faibles. L'auteur accrédite d'ailleurs la thèse marxiste selon laquelle nous sommes gouvernés par les morts sauf que, à l'inverse de Marx, il trouve cela très bien. Certes, le marxisme est un poison, mais tout n'est pas nul dans le constat qu'il dresse de la société capitaliste.Bref! Ce livre vaut la peine d'tre lu pour tre critiqué. Il comporte de nombreuses erreurs d'analyse et l'analyse elle-mme a la profondeur philosophique d'une assiette plate.
Ce livre est partisan, mais, en soi, on ne peut pas le lui reprocher. Par contre, l'analyse est loin d'tre objective et là, la critique est nécessaire. On apprend en logique formelle que dans une implication, si la prémisse est fausse alors peu importe la conclusion. C'est exactement ce qui se passe. L'auteur nous assène que seuls les entrepreneurs créent de la richesse. Cela n'est absolument pas vrai. L'état, qu'il vilipende, est aussi un créateur de richesse au mme titre. D'ailleurs, connaissez-vous un pays prospère dans lequel l'état est faible? Par ailleurs, l'analyse des graphiques, nombreux, est un peu courte. En effet, la mise en place massive des marchés des produits dérivés à partir de 1987 n'a pas permis de voir encore toute l'étendue des dégts que cela a créé. L'auteur, d'ailleurs, dans son analyse, ne fait aucune allusion à la masse des sommes investies en produits dérivés (800000 milliards de dollars selon certains) par rapport au PIB mondial (43000 milliards de dollars). Ce rapport, non cité, n'a pas l'air de seulement l'interpeler alors que ce n'est rien qu'un somme énorme de paris sur la vraie richesse produite. De mme, l'auteur ne fait aucune allusion à la corruption dont on estime qu'elle intervient au moins pour 1/3 dans la croissance mondiale. Pour lui, les courbes représentent la vraie économie. Bien entendu, il n'a pas vu ou pu prévenir la crise des subprimes dans ce pays très libéral que sont les USA, et si ces mmes subprimes ruinent les retraités américains, canadiens, britanniques et hollandais dans les années à venir, gageons qu'il ne commettra pas un nouveau livre pour reconnatre ses erreurs. Pour finir, sans le dire explicitement, l'auteur accrédite l'idée que la somme des intérts individuels est égale à l'intért général. Que Nenny! Comme le disait La Fontaine, la loi du plus fort est toujours la meilleure et la démocratie est une sorte de forme de protection contre la loi du plus fort. Le problème actuel de notre société c'est que les plus forts ont pris du poil de la bte au détriment de la masse démocratique des plus faibles. L'auteur accrédite d'ailleurs la thèse marxiste selon laquelle nous sommes gouvernés par les morts sauf que, à l'inverse de Marx, il trouve cela très bien. Certes, le marxisme est un poison, mais tout n'est pas nul dans le constat qu'il dresse de la société capitaliste.Bref! Ce livre vaut la peine d'tre lu pour tre critiqué. Il comporte de nombreuses erreurs d'analyse et l'analyse elle-mme a la profondeur philosophique d'une assiette plate.
A éviter ... .
Ce livre, écrit en 2003, est une ode à l'ultralibéralisme, soutenue par des arguments dignes de ceux qu'on entend au comptoir des bar. L'auteur part du principe (p40) que "la plupart des gens travaillent dans l'espoir de gagner de l'argent". Voilà une vérité fondamentale sur laquelle il base l'entièreté de son développement.Cependant, aussitt affirmée, il en déduit que tout le monde est embarqué dans la course à l'argent. Dieu merci, il n'en est rien, loin s'en faut. Ne connait-il donc aucun(e) infirmier(e), aucun(e) instituteur(triche), assistant social etc. Ne connait-il donc personne qui préfère garder un emploi moins bien rémunéré mais plus commode, plus attrayant du point de vue du développement personnel ou d'un autre point de vue ? Ne connait-il pas le sens du mot "bénévole" ???Ecrit en 2003, ce livre prétend que l'interventionnisme de l'Etat dans le milieu des affaires nous conduit droit vers le gouffre. Nous avons effectivement connu une des pires crises financières cinq ans plus tard, mais absolument pas à cause de l'interventionnisme de l'Etat, bien au contraire !!!Le regard de l'auteur est sans cesse tourné vers les paradis des entrepreneurs: l'Angleterre, et surtout ce qu'il appelle sans cesse "l'Amérique". Il démontre par là le problème des néolibéraux: ils sont tellement éblouis par la réussite d'un petit nombre de citoyens des Etats-Unis, qu'ils en oublient que l'Amérique est constituée de 35 pays et de 900.000 d'habitants, dont, effectivement, quelques milliers de très riches entrepreneurs, en Amérique du Nord essentiellement. Mais également des centaines de millions de laissés pour compte'En tout état de cause, c'est bien de "l'Amérique" que nous est venue la crise de 2008 '
Ce livre, écrit en 2003, est une ode à l'ultralibéralisme, soutenue par des arguments dignes de ceux qu'on entend au comptoir des bar. L'auteur part du principe (p40) que "la plupart des gens travaillent dans l'espoir de gagner de l'argent". Voilà une vérité fondamentale sur laquelle il base l'entièreté de son développement.Cependant, aussitt affirmée, il en déduit que tout le monde est embarqué dans la course à l'argent. Dieu merci, il n'en est rien, loin s'en faut. Ne connait-il donc aucun(e) infirmier(e), aucun(e) instituteur(triche), assistant social etc. Ne connait-il donc personne qui préfère garder un emploi moins bien rémunéré mais plus commode, plus attrayant du point de vue du développement personnel ou d'un autre point de vue ? Ne connait-il pas le sens du mot "bénévole" ???Ecrit en 2003, ce livre prétend que l'interventionnisme de l'Etat dans le milieu des affaires nous conduit droit vers le gouffre. Nous avons effectivement connu une des pires crises financières cinq ans plus tard, mais absolument pas à cause de l'interventionnisme de l'Etat, bien au contraire !!!Le regard de l'auteur est sans cesse tourné vers les paradis des entrepreneurs: l'Angleterre, et surtout ce qu'il appelle sans cesse "l'Amérique". Il démontre par là le problème des néolibéraux: ils sont tellement éblouis par la réussite d'un petit nombre de citoyens des Etats-Unis, qu'ils en oublient que l'Amérique est constituée de 35 pays et de 900.000 d'habitants, dont, effectivement, quelques milliers de très riches entrepreneurs, en Amérique du Nord essentiellement. Mais également des centaines de millions de laissés pour compte'En tout état de cause, c'est bien de "l'Amérique" que nous est venue la crise de 2008 '
Bien décevant : erreurs et visions fausse et négatives .
Ce que je n'ai pas aimé dans ce livre : des stéréotypes passés sur la Chine que je connais bien et qui ne sont plus d'actualité. Il est facile de donner des impressions négatives et souvent fausses... Nous ne sommes plus en 1960. La Chine évolue, et alors que pays avance à grand pas, y compris vers la liberté de presse, la propriété privée, l'économie libérale. Rien n'est parfait, et la critique à tout va pour le succès d'un livre négatif à mon avis ne concerne pas du tout l'objectivité et me consterne.
Ce que je n'ai pas aimé dans ce livre : des stéréotypes passés sur la Chine que je connais bien et qui ne sont plus d'actualité. Il est facile de donner des impressions négatives et souvent fausses... Nous ne sommes plus en 1960. La Chine évolue, et alors que pays avance à grand pas, y compris vers la liberté de presse, la propriété privée, l'économie libérale. Rien n'est parfait, et la critique à tout va pour le succès d'un livre négatif à mon avis ne concerne pas du tout l'objectivité et me consterne.
Une vision un peu trop simpliste du monde .
Il y a plusieurs choses que je n'ai pas aimées dans ce livre.- Une vision trop simpliste et manichéenne de la société (il y a d'un coté les méchants rentiers et politiciens, et de l'autre les bons entrepreneurs)- Cette faon de considérer le lecteur avec hauteur. (c'est moi le prof, et toi l'élève, mme si c'est sur le ton de l'humour).- Une vision à court terme de l'économie. L'auteur considère des graphiques sur 10, 20 ou 30 ans comme cela l'arrange, et en tire des conclusions qui lui semblent universelles, et qui s'imposeront naturellement à l'avenir. Je m'explique : L'ultra-libéralisme en matière d'économie (que prne l'auteur) a certes fait ses preuves au XIX et XX ème siècle (surtout aux état-unis comme il le souligne bien). Mais peut-on imaginer que ce modèle reste valide pour le XXIème siècle ? Personnellement je ne le pense pas, pour des raisons trop longues à détailler dans ce commentaire.
Il y a plusieurs choses que je n'ai pas aimées dans ce livre.- Une vision trop simpliste et manichéenne de la société (il y a d'un coté les méchants rentiers et politiciens, et de l'autre les bons entrepreneurs)- Cette faon de considérer le lecteur avec hauteur. (c'est moi le prof, et toi l'élève, mme si c'est sur le ton de l'humour).- Une vision à court terme de l'économie. L'auteur considère des graphiques sur 10, 20 ou 30 ans comme cela l'arrange, et en tire des conclusions qui lui semblent universelles, et qui s'imposeront naturellement à l'avenir. Je m'explique : L'ultra-libéralisme en matière d'économie (que prne l'auteur) a certes fait ses preuves au XIX et XX ème siècle (surtout aux état-unis comme il le souligne bien). Mais peut-on imaginer que ce modèle reste valide pour le XXIème siècle ? Personnellement je ne le pense pas, pour des raisons trop longues à détailler dans ce commentaire.
Product Details
EAN : 9782221099100Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 10 inches
Width : 6 inches
Author : Charles Gave
Binding : Broché
Manufacturer : Robert Laffont
PublicationDate : 2003-03-06
Publisher : Robert Laffont
SKU : 549782221099100
Studio : Robert Laffont
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